Pour la dernière question, cela a indéniablement un lien. Après, je vois plus ces deux événements comme parallèles plutôt que l'un étant la cause ou l'effet de l'autre. On peut très bien ne pas voir ses chaînes, ni celles des autres, et être dépossédé de soi-même. Aucun n'est la condition nécessaire ou suffisante de l'autre je veux dire (des deux points que tu essayais de raccorder).
Ensuite, pour la monotonie j'ai pensé à quelque chose ce matin (absolument pas en rapport avec cette dernière, mais qu'importe, cela s'y applique). Peut-être pourrait-on en définir une partie comme vivre de manière cyclique les mêmes événements, en faisant tendre les longueurs de chaque cycle vers une durée commune ou à peu près similaire. Il peut y avoir une multitude de cycle, sans qu'aucun ne soit forcément néfaste (cycle jour-nuit qui est biologique de base), et de même durée qu'un autre (cycle jour-nuit vs cycle vacances scolaires - périodes de cours). Je ne dis pas qu'il faut briser ces cycles, qu'ils sont bons ou mauvais pour nous, je les pointe simplement du doigt.
Enfin, pour ton dernier paragraphe, suggères-tu que la folie provient, souvent et en partie, d'un consentement inconscient ou d'une "non-résistance inavouée" de la personne en question ?