Bonsoir amis minecraftiens,
Si je suis ici à vous apostropher pendant votre café du soir, c'est pour vous faire partager des fictions basées un univers, celui de Minecraft. Écrites par Cekuriel, elles sont inspirées du fameux mythe " d'Herobrine ", vu à travers les yeux de ses personnages. Il est vrai que les fictions sur Herobrine ne manquent pas, mais un rapide coup d'oeil ne vous tuera pas ( heuresement d'ailleurs ) et un peu de soutien fais toujours chaud au coeur. C'est ici que l'introduction s'achève ( car les intros longues, c'est le mal ! ) et je vous souhaite une agréable lecture.
Donc si les pavés d'histoires macabres ne vous effraient pas, installez-vous confortablement, reprenez un peu de café et que l'histoire commence !
Prologue :
Depuis neuf heures maintenant, Herobrine et les autres mineurs s'acharnaient sans relâche sur la pierre, à la recherche de trésors, sous l'oeil impitoyable de Guldy, le chef mineur. Tout le monde minait en silence, le brisant seulement pour signaler la présence de ressources. Quelques fois, lorsqu'il s'agissait de diamants, Herobrine se taisait et, veillant à ce que personne ne le voit, se baissait pour le ramasser. Alors qu'il venait de cacher un troisième diamant, il entendit des bruits de pas vers l'entrée de la grotte et il se retournait, en même temps que les autres. Un messager arriva, murmura un « Bonjour ! » à peine audible aux mineurs et se tournait pour discuter avec Guldy. Après un bref instant, il repartit, et Guldy cria alors aux mineurs :
-La nuit est tombée ! Vous ne pourrez pas rentrer chez vous ce soir ! Cela signifie (il haussa le ton pour couvrir les protestations des mineurs) cela signifie que vous allez rester ici et continuer à miner !
-Mais nous minons depuis midi ! Nous merritons bien une pause ! Cria Herobrine avec les autres.
-Ne discute pas Herobrine ! Aucune pause ! Vous travaillerez jusqu'au lever du jour, et vous reviendrez à midi pétantes !
Ils continuèrent de miner, tous pensant quelle serait la meilleur façon de tuer Gulty.
La réponse se trouvait juste sous leurs pieds.
A force de miner, l'un deux faillit tomber dans une gallerie naturelle. Mais ce n'était pas n'importe quelle galerie : éclairant à l'aide d'une torche, ils virent tous ce qu'ils redoutèrent : un donjon de Creepers. Prenant leurs courage et leurs pioches à deux mains, ils creusèrent un escalier juste à côté et entrèrent dans le donjon. Les creepers tombaient sous les coups de pioches, leurs « pshhhhh... » se répercutant en écho, mais ils mourraient avant d'avoir eu le temps de reculer. Une fois tout les creepers tués, ils posèrent une, puis deux, puis trois torches autour du donjon. Avant d'avoir pu poser la quatrième,un creeper apparut, et, avant qu'ils aient pu faire un jeste de plus, il explosa.
Tout n'était que chaos, poussière et roche. Herobrine était ensevelie sous un amas de rocher, de gisements de fers et de charbons. Alors qu'il se dégagait péniblement, il prit conscience de quelque chose : tous étaient morts. Tous, sauf lui. Alors qu'il allait remonter, il entendit une voix l'appeler faiblement.
-Herobrine... Herobrine..
Il se retourna, et vit Gulty allongé, le suppliant de venir. Il s'agenouilla auprès de lui, et dût se pencher pour comprendre ce qu'il disait :
-Il faut... Il faut que tu aille à... à TingTown.. Préviens-les... La fin est proche... Tu est notre seul espoir... Herobrine, promet-le moi...
Herobrine hésita pendant quelques secondes, puis il se releva et dit à Gulty :
-Je vous le promet.
Chapitre 1 :
Herobrine remonta lentement vers la sortie de la mine. Une fois à l'extérieur, il remarqua qu'il faisait sombre, puis il se rappela qu'il faisait nuit. Il devant donc redoubler de prudence. Tout comme avec le donjon, il prit sa pioche, prêt à s'en servir comme une arme. Il fît un pas, deux pas, puis trois, et avança lentement, au taquet, prêt à attaquer la moindre chose qui bougeait. Un buisson remua alors près de lui. Surpris, il s'arrêta, et fixa stupidement le buisson, intrigué, baissant sa pioche.
C'est alors qu'un homme, à peu près la trentaine, l'air misérable, les cheveux mi-longs crasseux, d'énormes cernes sous ses petits yeux perçants, il tenait devant lui un arc, prêt à décocher une flèche entre les yeux de Herobrine. Ce dernier sursauta à la vue soudaine de ce misérable, manquant de lâcher sa pioche. L'homme dit alors d'une voix faible, en baissant son arc :
-Herobrine ? C'est bien toi ? Où sont les autres ? Tu est autorisé de sortir ?
Il lui posait trop de question. A cela ce rajoutait la morts de ses compagnons, sa surprise à la vue de l'homme et l'inquiétude de la nuit. S'en était trop. Il empoigna fermement le manche de sa pioche, et s'approcha, l'air menaçant, de l'archer, qui avait soudainement l'air inquiet.
-Herobrine ? Qu'est-ce qu'il y a ? (Herobrine prit sa pioche à deux mains) Que... Quelque chose ne va pas ? (Il la leva au-dessus de sa tête) Que... Arrête !Herobrine ! Où sont les autres ? A l'aide !
-Ils sont tous morts, répondit calmement Herobrine d'une voix sombre qui ne lui ressemblait pas.
Sa pioche s'abattit dans la tête de l'archer. Herobrine l'arracha, la releva et frappa cette fois dans la nuque. Il répéta cela jusqu'à ce qu'il se soit complètement défoulé ; jusqu'à ce que les hurlements de l'homme s'évanouirent dans la nuit.
Herobrine s'arrêta alors. Il repris soudainement ses esprits, et ce rendant compte qu'il venait de tuer quelqu'un, écarquilla les yeux de terreur. Il marcha, ne pensant plus au danger, se répétant, comme pour s'en convaincre :
-Tu t'es laissé emporter, Herobrine, tu ... Tu as... Tu as tué quelqu'un... Tu... Non, c'est faux, c'est une hallucination, il n'y avait personne... Sinon j'aurais du sang sur moi... Et je n'en ai pas...
Mais c'était, hélas ! vrai. Il était épuisé. Il arriva alors devant les portes de la ville de Thern. Un garde lui posa alors exactement les même questions que l'archer. Herobrine ne lui répondit pas, et le garde, croyant sans doute qu'il était trop épuisé pour parler, autorisa les autres gardes à ouvrir la porte. Herobrine le remercia dans un faible murmure, et pénétra dans la ville. Il marcha lentement, à la recherche d'une auberge. Une enseigne grinça alors au-dessus de sa tête : Il recula et lu « Auberge du sanglier égorgé ». On lui avait dit que c'était une auberge miteuse, mais il entra et demanda une chambre pour la nuit. Il dormit paisiblement.
PS : La suite publiée si il y a des intéressés.
Si je suis ici à vous apostropher pendant votre café du soir, c'est pour vous faire partager des fictions basées un univers, celui de Minecraft. Écrites par Cekuriel, elles sont inspirées du fameux mythe " d'Herobrine ", vu à travers les yeux de ses personnages. Il est vrai que les fictions sur Herobrine ne manquent pas, mais un rapide coup d'oeil ne vous tuera pas ( heuresement d'ailleurs ) et un peu de soutien fais toujours chaud au coeur. C'est ici que l'introduction s'achève ( car les intros longues, c'est le mal ! ) et je vous souhaite une agréable lecture.
Donc si les pavés d'histoires macabres ne vous effraient pas, installez-vous confortablement, reprenez un peu de café et que l'histoire commence !
Prologue :
Depuis neuf heures maintenant, Herobrine et les autres mineurs s'acharnaient sans relâche sur la pierre, à la recherche de trésors, sous l'oeil impitoyable de Guldy, le chef mineur. Tout le monde minait en silence, le brisant seulement pour signaler la présence de ressources. Quelques fois, lorsqu'il s'agissait de diamants, Herobrine se taisait et, veillant à ce que personne ne le voit, se baissait pour le ramasser. Alors qu'il venait de cacher un troisième diamant, il entendit des bruits de pas vers l'entrée de la grotte et il se retournait, en même temps que les autres. Un messager arriva, murmura un « Bonjour ! » à peine audible aux mineurs et se tournait pour discuter avec Guldy. Après un bref instant, il repartit, et Guldy cria alors aux mineurs :
-La nuit est tombée ! Vous ne pourrez pas rentrer chez vous ce soir ! Cela signifie (il haussa le ton pour couvrir les protestations des mineurs) cela signifie que vous allez rester ici et continuer à miner !
-Mais nous minons depuis midi ! Nous merritons bien une pause ! Cria Herobrine avec les autres.
-Ne discute pas Herobrine ! Aucune pause ! Vous travaillerez jusqu'au lever du jour, et vous reviendrez à midi pétantes !
Ils continuèrent de miner, tous pensant quelle serait la meilleur façon de tuer Gulty.
La réponse se trouvait juste sous leurs pieds.
A force de miner, l'un deux faillit tomber dans une gallerie naturelle. Mais ce n'était pas n'importe quelle galerie : éclairant à l'aide d'une torche, ils virent tous ce qu'ils redoutèrent : un donjon de Creepers. Prenant leurs courage et leurs pioches à deux mains, ils creusèrent un escalier juste à côté et entrèrent dans le donjon. Les creepers tombaient sous les coups de pioches, leurs « pshhhhh... » se répercutant en écho, mais ils mourraient avant d'avoir eu le temps de reculer. Une fois tout les creepers tués, ils posèrent une, puis deux, puis trois torches autour du donjon. Avant d'avoir pu poser la quatrième,un creeper apparut, et, avant qu'ils aient pu faire un jeste de plus, il explosa.
Tout n'était que chaos, poussière et roche. Herobrine était ensevelie sous un amas de rocher, de gisements de fers et de charbons. Alors qu'il se dégagait péniblement, il prit conscience de quelque chose : tous étaient morts. Tous, sauf lui. Alors qu'il allait remonter, il entendit une voix l'appeler faiblement.
-Herobrine... Herobrine..
Il se retourna, et vit Gulty allongé, le suppliant de venir. Il s'agenouilla auprès de lui, et dût se pencher pour comprendre ce qu'il disait :
-Il faut... Il faut que tu aille à... à TingTown.. Préviens-les... La fin est proche... Tu est notre seul espoir... Herobrine, promet-le moi...
Herobrine hésita pendant quelques secondes, puis il se releva et dit à Gulty :
-Je vous le promet.
Chapitre 1 :
Herobrine remonta lentement vers la sortie de la mine. Une fois à l'extérieur, il remarqua qu'il faisait sombre, puis il se rappela qu'il faisait nuit. Il devant donc redoubler de prudence. Tout comme avec le donjon, il prit sa pioche, prêt à s'en servir comme une arme. Il fît un pas, deux pas, puis trois, et avança lentement, au taquet, prêt à attaquer la moindre chose qui bougeait. Un buisson remua alors près de lui. Surpris, il s'arrêta, et fixa stupidement le buisson, intrigué, baissant sa pioche.
C'est alors qu'un homme, à peu près la trentaine, l'air misérable, les cheveux mi-longs crasseux, d'énormes cernes sous ses petits yeux perçants, il tenait devant lui un arc, prêt à décocher une flèche entre les yeux de Herobrine. Ce dernier sursauta à la vue soudaine de ce misérable, manquant de lâcher sa pioche. L'homme dit alors d'une voix faible, en baissant son arc :
-Herobrine ? C'est bien toi ? Où sont les autres ? Tu est autorisé de sortir ?
Il lui posait trop de question. A cela ce rajoutait la morts de ses compagnons, sa surprise à la vue de l'homme et l'inquiétude de la nuit. S'en était trop. Il empoigna fermement le manche de sa pioche, et s'approcha, l'air menaçant, de l'archer, qui avait soudainement l'air inquiet.
-Herobrine ? Qu'est-ce qu'il y a ? (Herobrine prit sa pioche à deux mains) Que... Quelque chose ne va pas ? (Il la leva au-dessus de sa tête) Que... Arrête !Herobrine ! Où sont les autres ? A l'aide !
-Ils sont tous morts, répondit calmement Herobrine d'une voix sombre qui ne lui ressemblait pas.
Sa pioche s'abattit dans la tête de l'archer. Herobrine l'arracha, la releva et frappa cette fois dans la nuque. Il répéta cela jusqu'à ce qu'il se soit complètement défoulé ; jusqu'à ce que les hurlements de l'homme s'évanouirent dans la nuit.
Herobrine s'arrêta alors. Il repris soudainement ses esprits, et ce rendant compte qu'il venait de tuer quelqu'un, écarquilla les yeux de terreur. Il marcha, ne pensant plus au danger, se répétant, comme pour s'en convaincre :
-Tu t'es laissé emporter, Herobrine, tu ... Tu as... Tu as tué quelqu'un... Tu... Non, c'est faux, c'est une hallucination, il n'y avait personne... Sinon j'aurais du sang sur moi... Et je n'en ai pas...
Mais c'était, hélas ! vrai. Il était épuisé. Il arriva alors devant les portes de la ville de Thern. Un garde lui posa alors exactement les même questions que l'archer. Herobrine ne lui répondit pas, et le garde, croyant sans doute qu'il était trop épuisé pour parler, autorisa les autres gardes à ouvrir la porte. Herobrine le remercia dans un faible murmure, et pénétra dans la ville. Il marcha lentement, à la recherche d'une auberge. Une enseigne grinça alors au-dessus de sa tête : Il recula et lu « Auberge du sanglier égorgé ». On lui avait dit que c'était une auberge miteuse, mais il entra et demanda une chambre pour la nuit. Il dormit paisiblement.
PS : La suite publiée si il y a des intéressés.