Bonjour.
Voici une histoire de type Héroïque Fantasy dans l'univers de Minecraft.
J'espère qu'elle vous plairas, n'hésitez pas à commenter.
Ps: veuillez excuser l'orthographe déplorable, je n'aurais en aucun cas les moyens de payez les frais médicaux des futures greffes oculaires qui suivront.
«_ Regarde-moi ça ! »
L’homme émergeât d’une galerie à moitié effondrée et infestée de toiles d’araignées, soulevant sur son passage des volutes de poussières. Il tenait dans ses mains un antique grimoire dont les pages, jaunies par le temps, étaient presque collées entre elles.
Son compagnon, le regard fixé sur le trou par lequel ils étaient arrivés, ne semblais pas partager son enthousiasme.
_ Tu sais très bien que je déteste quand tu fouilles dans ces couloirs, Ezeis ! Grommelât ’il sans lui accorder un regard. On est ici pour déterminer l’état des fondations de ces galeries.
Sans prêter attention à cette remarque, le dénommé Ezeis balayât une antique table de son épaisse couche de poussière pour y déposer le vieil ouvrage.
Il coinçât sa torche entre deux blocs de gravats que le plafond avait dû libérer des centaines d’années au paravent pour s’éclairer convenablement et entrepris de faire sauter le lourd cadenas de fer qui verrouillait la couverture de cuir usée et racornie.
_ Je sais pas pourquoi ça t’intéresse pas, tout ça, déclarât il en forçant la serrure avec sa dague. C’est tellement fou ! Dis-toi qu’on met les pieds dans des couloirs royaux d’une forteresse abandonnée il y à plus de huit cents ans lors des invasions barbares ! C’est saisissant ! On est dans les quartiers inférieurs de l’ancienne Origine, sur les fondations de la nouvelles ! Toi tu vois juste l’aspect « boulot », le repérage des supportages, alors qu’il y a tellement de secrets oubliés ici, tellement de trésors.
D’un geste expert, il fit sauter le cadenas.
_ Notre boulot, ce n’est pas une chasse au trésor, petit frère ! Le sermonnât l’autre homme. On est là pour inspecter les ruines qui ont été découvertes pour vérifier si elles ne menacent pas de faire écrouler les fondations des nouvelles murailles du chantier. Tu sais très bien que si on t’attrape à la fouille avec quoi que ce soit venant de cet endroit, on te tranchera la main droite, alors ne t’avise pas de ramasser le moindre objet qui te plaira. On n’est pas en train de jouer !
Il tendit ça torche un peu plus haut pour mieux inspecter le trou et marmonnât dans ça barbe.
_ A quoi bon ? répliqua le jeune homme. Dans tous les cas, ils vont faire des arches doubles pour supporter le poids de la muraille. Elle tiendrait des décennies sans s’effondrer dans un marais, avec ça. Et je ne te parle pas de trésors matériels. Regarde, c’est un ouvrage d’un gars qui était Maître Magicien du Conseil d’Or ! Y’a pas d’autre fois dans ta vie ou tu pourras lire un truc écrit par un gars d’aussi haut rang !
Son frère soupirât, excédé. Il ne comprenait pas qu’il refuse de grandir et n’accepte pas de réfléchir en adulte. L’attrait qu’il avait pour toutes ces antiquités historique ne le quittait plus depuis qu’ils avaient commencé ce travail de repérage pour le chantier de la nouvelle Origine, la forteresse bâtie sur les ruines ancestrale de son ancêtre. Chargés d’inspectés les galeries centenaires que les mineurs avaient mis à jour, ils découvraient chaque jour de plus en plus de ce qui fût une capitale prospère jusqu’à sa chute, obligé d’explorer de plus en plus profond terre pour établir des plans primaires des anciens quartiers militaires, des salles des coffre, des cuisines, et de bien d’autres choses.
_ Je t’avouerais que j’en ai rien à secouer d’un texte écris par les Esprits eux-mêmes, si ça m’apporte pas de quoi payer les repas de ce mois qui viens, lui rétorquât-il. On à d’autres problèmes, les cordages on lâchés, et on est beaucoup trop loin du point de récupération. Il faut trouver de quoi remonter d’au moins quinze mètres sinon on va rester là jusqu’à ce que la prochaine équipe nous trouve. Pour peu qu’elle passe par là. Dis, tu m’écoute au moins ?
Son frère ne lui avait prêté aucune attention, complètement absorbé par le contenu du livre.
_ Ça parle d’une prophétie sur la guerre des portails, racontât-il à haute voix. Il y a près d milles ans, les hommes et les nains ce sont ligués contre une horde de créatures de la nuit près de la crique de Nazarog. Le magicien parle de plus de dix milles combattants de toutes les contrées unis sous une même bannière contre des cohortes de revenants, d’archès squelettiques, de Ghasts, et de pleins d’autres abominations qui s’étaient regroupé pour exterminer la vie sur terre. Regarde, Artur, Il y a même des dessins !
L’ainé ne répondit pas. Il savait qu’il allait devoir se débrouiller seul pour les sortir d’ici. De plus en plus d’équipes racontaient avoir vu d’étranges choses en s’enfonçant dans les ruines, et il ne souhaitait pas s’éterniser pour confirmer les histoires à dormir debout qui se répandaient sur le chantier.
En écartant les toiles d’araignée avec sa torche, il se mit à la recherche de cordage encore en état, ou d’une échelle. Il savait qu’il ne devait pas s’attendre à des miracles, car tout ce qui trainait dans ces galeries était rongé par la moisissure, l’humidité, et le temps.
_ D’après ce texte, le magicien à chercher à trouver pendant presque toute sa vie pourquoi les créatures de la nuit avaient rompus leur mode de vie solitaire pour s’unir et s’organiser, et pourquoi ils avaient choisi de forcer le lieu de la bataille à cet endroit précis de la crique. D’après lui, plus de quatre mille soldats de l’alliance ont péri ce jour-là, et la bataille à durer plus de vingt et une heure de combats acharnés. Il a trouvé de vieux écrits par ci par là qui parlaient d’une invocation d’une grande menace par un énorme sacrifice. Tu verrais les dessins du monstre ! Il est terrifiant !
Artur tirât sur une corde qui se cassât aussitôt en une dizaine de morceaux. Rien ici ne leur permettrait de s’en sortit. Même en empilant les coffres, ils n’attendraient pas le point ou les cordages avaient lâchés.
_ Le magicien indique que plus le sacrifice est important, plus le temps d’invocation est long. Le livre est abimé ici mais j’arrive à lire qu’il a déterminé l’année à laquelle la créature devait se manifester. Après il parle d’une autre dimension et de portails. C’est assez flou, et les pages sont dévorées par les mites. Là, il parle de l’apparition grands monstres noirs et d’une prophétie ancestrale ou seul un gars qui… J’arrive pas à lire… enfin bref, seul un gars bien précis pourra choper la bestiole démoniaque et la tuer. C’est flippant pas vrai ?
Arthur découvrit un étrange cercle de pierre en arrachant d’un mur une teinture délavée criblée de trous. On aurait dit que ce n’était pas une partie intégrante du mur, mais plutôt…
_ Eh ! J’ai trouvé la date à laquelle tout ça devrait se produire ! Et ben devine, je te le donne en mille c’est…
Son frère poussât l’étrange bouton sans écouter son frère. Dans un bruit sourd, un pan complet du mur s’escamotât.
Surpris, il découvrit une porte gigantesque ornée de crânes humains, ouverte sur une pièce tellement obscure qu'il n'y voyait pas à plus de dix pas. Arthur brandit alors sa torche pour voir ce que donnais cette pièce et s'il pouvait y trouver de quoi remonter.
Un grincement métallique puissant lui fit tourner la tête.
Puis, sortant de l’obscurité, un énorme poing d’acier l’écrasât contre le mur, projetant du sang et des morceaux d’os à trois mètres aux alentours, sur le lit de poussière qui recouvrait le sol.
_ Arthur ? Appela timidement son frère, en se retournant.
Puis il hurlât, lorsqu’il vit ce qui fonçait droit sur lui, faisant trembler le sol sous son poids.
Voici une histoire de type Héroïque Fantasy dans l'univers de Minecraft.
J'espère qu'elle vous plairas, n'hésitez pas à commenter.
Ps: veuillez excuser l'orthographe déplorable, je n'aurais en aucun cas les moyens de payez les frais médicaux des futures greffes oculaires qui suivront.
PROLOGUE
«_ Regarde-moi ça ! »
L’homme émergeât d’une galerie à moitié effondrée et infestée de toiles d’araignées, soulevant sur son passage des volutes de poussières. Il tenait dans ses mains un antique grimoire dont les pages, jaunies par le temps, étaient presque collées entre elles.
Son compagnon, le regard fixé sur le trou par lequel ils étaient arrivés, ne semblais pas partager son enthousiasme.
_ Tu sais très bien que je déteste quand tu fouilles dans ces couloirs, Ezeis ! Grommelât ’il sans lui accorder un regard. On est ici pour déterminer l’état des fondations de ces galeries.
Sans prêter attention à cette remarque, le dénommé Ezeis balayât une antique table de son épaisse couche de poussière pour y déposer le vieil ouvrage.
Il coinçât sa torche entre deux blocs de gravats que le plafond avait dû libérer des centaines d’années au paravent pour s’éclairer convenablement et entrepris de faire sauter le lourd cadenas de fer qui verrouillait la couverture de cuir usée et racornie.
_ Je sais pas pourquoi ça t’intéresse pas, tout ça, déclarât il en forçant la serrure avec sa dague. C’est tellement fou ! Dis-toi qu’on met les pieds dans des couloirs royaux d’une forteresse abandonnée il y à plus de huit cents ans lors des invasions barbares ! C’est saisissant ! On est dans les quartiers inférieurs de l’ancienne Origine, sur les fondations de la nouvelles ! Toi tu vois juste l’aspect « boulot », le repérage des supportages, alors qu’il y a tellement de secrets oubliés ici, tellement de trésors.
D’un geste expert, il fit sauter le cadenas.
_ Notre boulot, ce n’est pas une chasse au trésor, petit frère ! Le sermonnât l’autre homme. On est là pour inspecter les ruines qui ont été découvertes pour vérifier si elles ne menacent pas de faire écrouler les fondations des nouvelles murailles du chantier. Tu sais très bien que si on t’attrape à la fouille avec quoi que ce soit venant de cet endroit, on te tranchera la main droite, alors ne t’avise pas de ramasser le moindre objet qui te plaira. On n’est pas en train de jouer !
Il tendit ça torche un peu plus haut pour mieux inspecter le trou et marmonnât dans ça barbe.
_ A quoi bon ? répliqua le jeune homme. Dans tous les cas, ils vont faire des arches doubles pour supporter le poids de la muraille. Elle tiendrait des décennies sans s’effondrer dans un marais, avec ça. Et je ne te parle pas de trésors matériels. Regarde, c’est un ouvrage d’un gars qui était Maître Magicien du Conseil d’Or ! Y’a pas d’autre fois dans ta vie ou tu pourras lire un truc écrit par un gars d’aussi haut rang !
Son frère soupirât, excédé. Il ne comprenait pas qu’il refuse de grandir et n’accepte pas de réfléchir en adulte. L’attrait qu’il avait pour toutes ces antiquités historique ne le quittait plus depuis qu’ils avaient commencé ce travail de repérage pour le chantier de la nouvelle Origine, la forteresse bâtie sur les ruines ancestrale de son ancêtre. Chargés d’inspectés les galeries centenaires que les mineurs avaient mis à jour, ils découvraient chaque jour de plus en plus de ce qui fût une capitale prospère jusqu’à sa chute, obligé d’explorer de plus en plus profond terre pour établir des plans primaires des anciens quartiers militaires, des salles des coffre, des cuisines, et de bien d’autres choses.
_ Je t’avouerais que j’en ai rien à secouer d’un texte écris par les Esprits eux-mêmes, si ça m’apporte pas de quoi payer les repas de ce mois qui viens, lui rétorquât-il. On à d’autres problèmes, les cordages on lâchés, et on est beaucoup trop loin du point de récupération. Il faut trouver de quoi remonter d’au moins quinze mètres sinon on va rester là jusqu’à ce que la prochaine équipe nous trouve. Pour peu qu’elle passe par là. Dis, tu m’écoute au moins ?
Son frère ne lui avait prêté aucune attention, complètement absorbé par le contenu du livre.
_ Ça parle d’une prophétie sur la guerre des portails, racontât-il à haute voix. Il y a près d milles ans, les hommes et les nains ce sont ligués contre une horde de créatures de la nuit près de la crique de Nazarog. Le magicien parle de plus de dix milles combattants de toutes les contrées unis sous une même bannière contre des cohortes de revenants, d’archès squelettiques, de Ghasts, et de pleins d’autres abominations qui s’étaient regroupé pour exterminer la vie sur terre. Regarde, Artur, Il y a même des dessins !
L’ainé ne répondit pas. Il savait qu’il allait devoir se débrouiller seul pour les sortir d’ici. De plus en plus d’équipes racontaient avoir vu d’étranges choses en s’enfonçant dans les ruines, et il ne souhaitait pas s’éterniser pour confirmer les histoires à dormir debout qui se répandaient sur le chantier.
En écartant les toiles d’araignée avec sa torche, il se mit à la recherche de cordage encore en état, ou d’une échelle. Il savait qu’il ne devait pas s’attendre à des miracles, car tout ce qui trainait dans ces galeries était rongé par la moisissure, l’humidité, et le temps.
_ D’après ce texte, le magicien à chercher à trouver pendant presque toute sa vie pourquoi les créatures de la nuit avaient rompus leur mode de vie solitaire pour s’unir et s’organiser, et pourquoi ils avaient choisi de forcer le lieu de la bataille à cet endroit précis de la crique. D’après lui, plus de quatre mille soldats de l’alliance ont péri ce jour-là, et la bataille à durer plus de vingt et une heure de combats acharnés. Il a trouvé de vieux écrits par ci par là qui parlaient d’une invocation d’une grande menace par un énorme sacrifice. Tu verrais les dessins du monstre ! Il est terrifiant !
Artur tirât sur une corde qui se cassât aussitôt en une dizaine de morceaux. Rien ici ne leur permettrait de s’en sortit. Même en empilant les coffres, ils n’attendraient pas le point ou les cordages avaient lâchés.
_ Le magicien indique que plus le sacrifice est important, plus le temps d’invocation est long. Le livre est abimé ici mais j’arrive à lire qu’il a déterminé l’année à laquelle la créature devait se manifester. Après il parle d’une autre dimension et de portails. C’est assez flou, et les pages sont dévorées par les mites. Là, il parle de l’apparition grands monstres noirs et d’une prophétie ancestrale ou seul un gars qui… J’arrive pas à lire… enfin bref, seul un gars bien précis pourra choper la bestiole démoniaque et la tuer. C’est flippant pas vrai ?
Arthur découvrit un étrange cercle de pierre en arrachant d’un mur une teinture délavée criblée de trous. On aurait dit que ce n’était pas une partie intégrante du mur, mais plutôt…
_ Eh ! J’ai trouvé la date à laquelle tout ça devrait se produire ! Et ben devine, je te le donne en mille c’est…
Son frère poussât l’étrange bouton sans écouter son frère. Dans un bruit sourd, un pan complet du mur s’escamotât.
Surpris, il découvrit une porte gigantesque ornée de crânes humains, ouverte sur une pièce tellement obscure qu'il n'y voyait pas à plus de dix pas. Arthur brandit alors sa torche pour voir ce que donnais cette pièce et s'il pouvait y trouver de quoi remonter.
Un grincement métallique puissant lui fit tourner la tête.
Puis, sortant de l’obscurité, un énorme poing d’acier l’écrasât contre le mur, projetant du sang et des morceaux d’os à trois mètres aux alentours, sur le lit de poussière qui recouvrait le sol.
_ Arthur ? Appela timidement son frère, en se retournant.
Puis il hurlât, lorsqu’il vit ce qui fonçait droit sur lui, faisant trembler le sol sous son poids.