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Salutations,
" Les Chroniques d'Aelthir " est un projet de Serveur Minecraft Full-Rp doté de plusieurs maps (dont une PvP); d'un système de classes (assassins, guerriers, mages...) ; d'objets, blocs, mobs inédits; de donjons ; de quêtes... Et tout cela ancré dans un univers Medieval-Fantasy complet et détaillé pouvant accueillir 999 joueurs simultanément.
La map principale est immense (12 k x 12 k) et permet d’héberger nombres de projets tout en les maintenant à distance pour "contrôler" les incohérences. D'autres maps sont aussi disponibles comme celles du Varen et d'Ellieris.
Notre économie est constituée de Nodithes : dites No et de Cristaux : Cr . Et nous avons un système de shops précaire et temporaire qui devrait être remplacé par des PNJ commerçants.
Nous disposons de nouveaux blocs, le basique de la décoration : Tables, chaises, tabourets, tapis, nouveaux verres ... D'autres sont à venir.
Quelques projets ont déjà vus le jour et des Nations ont déjà été crées et nous serons ravis de recevoir vos projets sur notre serveur.
Pour les mobs, items, etc... Nous voyons ça avec notre équipe de codeur dans laquelle il reste encore de la place.
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Voici une brève présentation des univers :
Le pays nommé Aelthir, dont la capitale humaine est Almeria. Composé principalement de verts pâturages et zones montagneuses, ce pays échappa a la destruction seulement 400ans avant votre arrivée en ce monde. Le commerce et l'exploration sont les activités principales de ce monde.
Elieris : La nef des mages. Ceux ci participèrent a la protection d'Aelthir, mais leur déploiement de magie excessif les forcèrent a s'exiler dans autre plan pour que le bouclier qui entour le monde humain ne se transforme pas en bombe. La nef devins donc un immense lopin de terre flottant dans le néant qui fut autrefois, 400années auparavant, un monde semblable a Aelthir, mais qui ne put être sauvé.
La faille : Un bouclier n'est jamais sans faille. Vous échappant du monde protégé par le sacrifice de centaines de mages, vous entrez dans une des contrées voisine d'Aelthir. Celle ci, assez proche pour que le contact n'ai pas été rompu, mais trop reculée pour être sauvée, fut fortement touchée.
Cependant, la désagrégation de cette zone mis a nue ce que les profondeurs de la terre avait de meilleur et de pire a offrir. Infestée de créatures et regorgeant de minerais, cette zone est un paradis pour les aventuriers et mineurs de l’extrême. Mais attention, il n'y a ni ciel ni terre, seulement les résidus flottants d'un pays disparu. N'est pas dit que vous en reviendrez.
Le Varen : Pays voisin d'Aelthir, miraculeusement sauvé par ses propres enchanteurs. Cependant s'ils surent "sauver les meubles", on ne peut en dire autan de leurs esprits. Leur culture disparu en une nuit. Ne supportant plus que l'autorité de leur proches, le royaume s'effondra en quelques jours. Laisses sans maitres, les régions et contrées de pays dans le déclin appartiendront a qui aura la force de les arracher des mains de leur prochain. Vous entrez la dans un monde ou la guerre est un quotidien, et le combat toute une vie.
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Présentation rapide de l'histoire de l'univers :
Vous arrivez pour la première fois à la Nef des mages, lieu de haute magie plein de mystères. Ne sachant que peu de choses sur sa création, vous espérez trouver un mage pour vous renseigner. C’est donc naturellement que vous vous dirigez vers le musée, dans l’espoir de croiser quelqu’un de compétent pour vous le raconter.
Accédant au musé, de hautes colonnes et parsemé de représentations magiques des créatures existantes, ainsi que diverses aberrations glanées dans les méandres du temps, vous en rencontrez une qui semble animée de vie. En vous en approchant, la créature décharnée vous regarde et vous fait face, dans un mouvement fluide et insonore .
Vous vous risquez a vous y adresser, surpris de l’existence de cet être, alors que votre vision plonge peu a peu dans le noir, comme si votre esprit était aspiré en dehors du monde physique. C’est alors que l’entité se lance a vous parler, directement par pensée, tandis que les images défilent dans votre esprit.
-Bonjour, novice. Laissez moi vous compter l’histoire de notre monde.
D’où venons nous? Comment notre monde est devenu ce qu’il est de nos jours? Ce sont des question auxquelles je vais répondre,
vous comptant son histoire et la mienne pour vous le faire comprendre.
Aelthir fut autrefois un pays paisible, 4 fois plus grand que celui que nous connaissons aujourd’hui.
Nous avions des dieux et des sages, des démons et fous, et cette dernière tendance s’est accentuée.
Dans un premier temps, il faut que vous en sachiez plus sur nos anciens dieux.
Ceux ci étaient d’une puissance sans égale, cela va de soit, mais l’utilisaient de manières assez anarchique. Tandis qu’ils finissaient de créer un univers, qu’ils passaient sur un autre.
Notre monde fut gracié de multiples races a l’intelligence supérieur, là ou nous savons aujourd’hui que nous sommes une exception.
Le dieu qui nous créa se nommait Ael, et en langue ancienne Thir signifie “œuvre”.
Ainsi, nous tous, hommes et Melwers, Nains et Lorithiens, nous vénérions tous Ael. Ce qui provoqua l’envie et la jalousie de ses semblables, lesquels tuèrent Ael et prirent le contrôle sur notre monde.
Par quel moyen me demanderiez vous? En substituant nos dirigeants par des êtres éthérés et immortels, les Belirs, sous la protection des dieux Eris et Malhera.
Cependant la présence de ces dieux, et surtout des Belirs dans notre monde, causa une sorte de contamination sur plusieurs générations, des lignées d’enfants dotés de pouvoirs surnaturels.
Les enfants grandissant, malgré l’arrivage régulier de nouvelles générations toujours plus importantes, les doyens créèrent un sanctuaire, appelé Elieris, littéralement, Les Damnés d’Eris.
Si Malhera se lassa vite de notre monde, Eris, froissé que de simple créatures de chair soient dotés de pouvoirs réservés aux divinité et leurs disciples existent, décida alors d’abattre sa puissance destructrice sur Aelthir, qui résistait toujours a la conversion, refusant de renier son créateur déchu.
Eris se retrouvât cependant confronté aux résidus de la protection qu’Ael érigea quand il compris que ses propres frères convoitaient ce monde qu’il avait créé.
Si Eris pouvait envoyer des êtres physiques dans notre monde, lui était impossible d’y agir directement, une divinité étant une sorte d’entité omniprésente, mais non matérielle.
Pris d’une rage sans bornes, il tenta de convaincre Malhera d’abandonner son statut de divinité a sa place, pour agir directement sur notre monde. Malhera, déesse de nature paisible, refusa violemment cette option, devant elle même protéger un monde qu’elle créa par le passé.
Eris se retourna contre Malhera, et détruisit la majeure partie du monde des Sylphides, lequel fut sauvé par la riposte de Malhera, qui enfermât Eris dans Aelthir, sous forme physique.
Elle était parfaitement consciente que cet acte condamnerai probablement l’oeuvre de son frère disparut, mais cela était nécessaire pour le stopper. Détruire un monde pour en sauver mille autres.
Les Enfants d’Ael, tels que nous nous nommions nous même depuis que parvint a notre connaissance la mort de notre créateur, se battirent avec ardeur contre Eris.
Cependant , pauvres êtres de chair, nous nous faisions décimer par la puissance destructrice de ce dieu déchu. Celui ci, Eris, doté sous sa forme physique d’une sorte de polymorphie, commença lors de son assaut, par une chasse qu’il devait trouver amusante, depuis sa forme de reptile ailé.
Quand les membres du sanctuaire d’Elieris se dressèrent contre lui, il compris qu’il se devait de prendre les choses plus au sérieux, prenant conscience de l’énorme partie de pouvoir qu’il avait perdu par l’action de Malhera.
Celle ci voulais protéger un monde, il se jura donc intégralement détruire le notre. De son corps écaillé, il fendait l’air et brulait nos terres, et ce durant 5 décennies. Nous fumes contraints a l’exile dans les profondeurs de la terre, diminués et acculés.
Témoin de ce terrible spectacle pourpre, Malhera se décida a faire un nouveau sacrifice, non pas sur un monde, mais sur elle même, considérant de sa responsabilité la survie de l’Oeuvre d’Ael.
Elle abandonna ce qui faisait d’elle une déesse a part entière, a savoir sa capacité a créer des mondes, et ce pour protéger le notre. Elle modifia bien des choses.
Elle modifia le cour de la vie et de la mort, donnant a nos âmes la possibilité de ne plus être expulsées dans le néant a la mort de notre enveloppe charnelle. La capacité de renaitre, et du peu de puissance qu’elle pouvais sacrifier avant de se risquer a disparaitre,
elle enferma les Belirs, déstabilisés depuis la chute d’Eris en Aelthir, dans des gangues, les empêchant seulement de contaminer plus gravement les êtres de se mondes, qui avaient parfois déjà engendrés des créatures dont la puissance dépasse de loin ce dont on croyait capable un vulgaire être mortel.
Fort de cette pseudo immortalité, les enfants d’Ael comme les Damnés d’Eris élaborèrent un plan cruel, mais qui se devait d’être efficace.
Tandis que les fils et filles du dieu mort allaient combattre ,se sacrifier et retourner combattre, tentant de contenir la rage d’Eris, tandis que les damnés avaient pour mission d’achever ce que devait être le sanctuaire d’Elieris, a savoir une Nef, un bâtiment certes, mais aussi une arche, qui serait capable de travers les plans entre les mondes, et ainsi espérer sauver ce que Eris n’avait pas encore atteint.
Cependant, Eris, aussi fou et irréfléchi qu’il est, n’était pas pour autan aveugle ou idiot. Si ses opposants se cachaient sous terre, il n’avait qu’a la détruire elle même.
Sous sa forme reptilienne, il était en possession de deux ailes, inutiles depuis que les sorts des damnés en avaient percé la membranes. Il se les arracha donc, laissant couler son sang brulant dans les entrailles de ce monde.
Celui ci rongea la terre, détruisant tout sur son passage, pas seulement la vie, mais le monde lui même. Cela faisait déjà 250ans qu’Ael était mort, et la barrière protectrice de ce monde, percée de l’intérieur, ne pouvais plus garder intacte une si grande surface.
Tandis que les enfants d’Ael continuaient de se battre aux portes de chaque ville en ruine contre les assauts répétés d’Eris, les Damnés finirent l’arche, assurant une survie aux habitants de ce monde si celui ci venait a être détruit.
Cependant , le commun des mortels se refusait a quitter ce monde, et se sont promis que s’ils ne sauveraient pas ce monde, il seraient la pour périr avec lui. Les Damnés, et leur philosophie, ne portait guère de valeur a un territoire quand eux même se permettaient de voyager d’un monde a l’autre.
Mais malgré leur refus de se sacrifier pour des êtres dénués de magie, leur honneur les poussait a ne pas les abandonner pour autan. Les plus anciens et puissants des Damnés se réunirent, s’ils se devaient de ne pas disparaitre, ils se dévouèrent par contre a un sacrifice de taille.
Nés des enfants mêmes d’Ael, qui créa la barrière, et des miasmes d’Eris, qui leur conféra des pouvoirs divins, ils utilisèrent ce sang mêlé pour contrôler le bouclier du créateur, réduisant sa portée mais augmentant sa puissance, en puisant dans celle du dieu fou.
Si les mages, tels qu’on les nomme aujourd’hui, n’utilisèrent pas leur propre puissance pour cela, ils servirent de catalyseurs, traversés par des flux de puissance démesurés, la plupart d’entre eux moururent pendant leur action, d’autre des conséquences de celle ci, et les survivants devinrent pour la plupart plus dangereux
que les Bélirs même.
Eris se retrouva affaibli. Surpris par la véhémence de ces êtres inférieurs, il les avait sous estimés et avait commis une erreur stratégique importante.
En se mutilant lui même, en répandant son sang, il avait poussé la combattivité de ses adversaires a l’extrême, s’affaiblissant lui même et renforçant leur moral, car blessé il avait mis moins d’ardeur lors de ses précédents assauts.
Pris de panique, craignant pour la première fois la défaite et la mort, il se rua sur les contrées de Belveres, là ou sous un amas de ruine, beaucoup d’hommes s'étaient abrités.
Ne pouvant se résoudre a creuser pour dénicher chaque vermine de chair sur toute la surface de ce monde, il décida que l’avenir se jouerai sur cette bataille. Arrachant les derniers vestiges des ailes qu’il eut autrefois, il cristallisa son propre sang,
s’armant de deux lames. Il en plantant une dans la terre. Il concentra toute son attention sur les parts de lui qu’il y avait versé plus tôt. Il pointa l’autre vers le ciel, visant ce bouclier invisible dont il sentait la présence.
Si les Damnés avaient pu lui soutirer de sa puissance pour la mettre dans ce bouclier, grâce a leur sang mêle, son pouvoir mélangé a celui de son frère lui donnerai surement un contrôle sur la protection de ce monde.
Il avait raison.
Absorbant la puissance du bouclier et récupérant celle qui avait laissé dans les profondeurs d’Aelthir, il envoya son sang et sa puissance cristallisée a la rencontre de la protection d’Ael dans le but de la faire céder.
Si les mages étaient dans un autre monde, et donc selon la logique d’Eris a ce moment la, n’aurait en aucun cas pu intervenir, le monde dans lequel ils se trouvaient était la futur création de Ael, qu’il laissa inachevé et sans vie, Verael.
Les mages n’eurent donc aucun scrupule a faire s’effondrer ce monde sur le point ou Eris tentait d’éventrer le bouclier d’Aelthir, en rompant les lignes du temps de ce plan.
La chute de ce monde ne faisait pas pour autan peur a cet ancien dieu, qui abandonna son plan d’origine, planta la deuxième lame dans le sol pour gagner en appuis, tentant de se soustraire a l’inévitable.
Si Eris fut un dieu, il n’était maintenant plus qu’une monstrueuse créature blessée, et si fort il était demeuré, ses épaules ne surent supporter le poids d’un monde.
Son corps sanglant se fissura, il résistait de plus belle, contractant sa chair au point d’en broyer ses organes, ses membres se brisèrent, un grondement de rage et de désespoir, le désespoir d’un autre condamné a la fin qu’il réservait a tous sans jamais la craindre, le sol se déroba sous lui, ainsi que sa volonté.
La force incommensurable de ce phénomène enfonça profondément dans la terre le cadavre du déchu, parsemant le cœur d’Aelthir du sang cristallisé d’Eris, et ne laissant a la surface que les lames maudites et quelques sphères de sang en suspension.
Ce sang d’Eris fut par la suite entretenu a la nef des mages, Elieris, que l’on considère comme déphasé, qu’importe le cataclysme qui pourrait y avoir lieu, la seule répercutions possible en Aelthir sera la destruction de la Nef elle-même, qui aujourd’hui est la seule source de énergie alimentant le bouclier, via le sang d’Eris conservé et cultivé dans les bas-fond de ce lieu que l’on pourrai qualifier de salvateur comme de destructeur.
Là ou le du sang était resté en suspension, au dessus des catacombes qui abritèrent un grande partie de l’humanité, se construisit Almeria, siège de l’Ordre, une ville sous la protection même de ce qui aurai put tout détruire, sans pour autan vivre dans une totale sérénité.
Accédant au musé, de hautes colonnes et parsemé de représentations magiques des créatures existantes, ainsi que diverses aberrations glanées dans les méandres du temps, vous en rencontrez une qui semble animée de vie. En vous en approchant, la créature décharnée vous regarde et vous fait face, dans un mouvement fluide et insonore .
Vous vous risquez a vous y adresser, surpris de l’existence de cet être, alors que votre vision plonge peu a peu dans le noir, comme si votre esprit était aspiré en dehors du monde physique. C’est alors que l’entité se lance a vous parler, directement par pensée, tandis que les images défilent dans votre esprit.
-Bonjour, novice. Laissez moi vous compter l’histoire de notre monde.
D’où venons nous? Comment notre monde est devenu ce qu’il est de nos jours? Ce sont des question auxquelles je vais répondre,
vous comptant son histoire et la mienne pour vous le faire comprendre.
Aelthir fut autrefois un pays paisible, 4 fois plus grand que celui que nous connaissons aujourd’hui.
Nous avions des dieux et des sages, des démons et fous, et cette dernière tendance s’est accentuée.
Dans un premier temps, il faut que vous en sachiez plus sur nos anciens dieux.
Ceux ci étaient d’une puissance sans égale, cela va de soit, mais l’utilisaient de manières assez anarchique. Tandis qu’ils finissaient de créer un univers, qu’ils passaient sur un autre.
Notre monde fut gracié de multiples races a l’intelligence supérieur, là ou nous savons aujourd’hui que nous sommes une exception.
Le dieu qui nous créa se nommait Ael, et en langue ancienne Thir signifie “œuvre”.
Ainsi, nous tous, hommes et Melwers, Nains et Lorithiens, nous vénérions tous Ael. Ce qui provoqua l’envie et la jalousie de ses semblables, lesquels tuèrent Ael et prirent le contrôle sur notre monde.
Par quel moyen me demanderiez vous? En substituant nos dirigeants par des êtres éthérés et immortels, les Belirs, sous la protection des dieux Eris et Malhera.
Cependant la présence de ces dieux, et surtout des Belirs dans notre monde, causa une sorte de contamination sur plusieurs générations, des lignées d’enfants dotés de pouvoirs surnaturels.
Les enfants grandissant, malgré l’arrivage régulier de nouvelles générations toujours plus importantes, les doyens créèrent un sanctuaire, appelé Elieris, littéralement, Les Damnés d’Eris.
Si Malhera se lassa vite de notre monde, Eris, froissé que de simple créatures de chair soient dotés de pouvoirs réservés aux divinité et leurs disciples existent, décida alors d’abattre sa puissance destructrice sur Aelthir, qui résistait toujours a la conversion, refusant de renier son créateur déchu.
Eris se retrouvât cependant confronté aux résidus de la protection qu’Ael érigea quand il compris que ses propres frères convoitaient ce monde qu’il avait créé.
Si Eris pouvait envoyer des êtres physiques dans notre monde, lui était impossible d’y agir directement, une divinité étant une sorte d’entité omniprésente, mais non matérielle.
Pris d’une rage sans bornes, il tenta de convaincre Malhera d’abandonner son statut de divinité a sa place, pour agir directement sur notre monde. Malhera, déesse de nature paisible, refusa violemment cette option, devant elle même protéger un monde qu’elle créa par le passé.
Eris se retourna contre Malhera, et détruisit la majeure partie du monde des Sylphides, lequel fut sauvé par la riposte de Malhera, qui enfermât Eris dans Aelthir, sous forme physique.
Elle était parfaitement consciente que cet acte condamnerai probablement l’oeuvre de son frère disparut, mais cela était nécessaire pour le stopper. Détruire un monde pour en sauver mille autres.
Les Enfants d’Ael, tels que nous nous nommions nous même depuis que parvint a notre connaissance la mort de notre créateur, se battirent avec ardeur contre Eris.
Cependant , pauvres êtres de chair, nous nous faisions décimer par la puissance destructrice de ce dieu déchu. Celui ci, Eris, doté sous sa forme physique d’une sorte de polymorphie, commença lors de son assaut, par une chasse qu’il devait trouver amusante, depuis sa forme de reptile ailé.
Quand les membres du sanctuaire d’Elieris se dressèrent contre lui, il compris qu’il se devait de prendre les choses plus au sérieux, prenant conscience de l’énorme partie de pouvoir qu’il avait perdu par l’action de Malhera.
Celle ci voulais protéger un monde, il se jura donc intégralement détruire le notre. De son corps écaillé, il fendait l’air et brulait nos terres, et ce durant 5 décennies. Nous fumes contraints a l’exile dans les profondeurs de la terre, diminués et acculés.
Témoin de ce terrible spectacle pourpre, Malhera se décida a faire un nouveau sacrifice, non pas sur un monde, mais sur elle même, considérant de sa responsabilité la survie de l’Oeuvre d’Ael.
Elle abandonna ce qui faisait d’elle une déesse a part entière, a savoir sa capacité a créer des mondes, et ce pour protéger le notre. Elle modifia bien des choses.
Elle modifia le cour de la vie et de la mort, donnant a nos âmes la possibilité de ne plus être expulsées dans le néant a la mort de notre enveloppe charnelle. La capacité de renaitre, et du peu de puissance qu’elle pouvais sacrifier avant de se risquer a disparaitre,
elle enferma les Belirs, déstabilisés depuis la chute d’Eris en Aelthir, dans des gangues, les empêchant seulement de contaminer plus gravement les êtres de se mondes, qui avaient parfois déjà engendrés des créatures dont la puissance dépasse de loin ce dont on croyait capable un vulgaire être mortel.
Fort de cette pseudo immortalité, les enfants d’Ael comme les Damnés d’Eris élaborèrent un plan cruel, mais qui se devait d’être efficace.
Tandis que les fils et filles du dieu mort allaient combattre ,se sacrifier et retourner combattre, tentant de contenir la rage d’Eris, tandis que les damnés avaient pour mission d’achever ce que devait être le sanctuaire d’Elieris, a savoir une Nef, un bâtiment certes, mais aussi une arche, qui serait capable de travers les plans entre les mondes, et ainsi espérer sauver ce que Eris n’avait pas encore atteint.
Cependant, Eris, aussi fou et irréfléchi qu’il est, n’était pas pour autan aveugle ou idiot. Si ses opposants se cachaient sous terre, il n’avait qu’a la détruire elle même.
Sous sa forme reptilienne, il était en possession de deux ailes, inutiles depuis que les sorts des damnés en avaient percé la membranes. Il se les arracha donc, laissant couler son sang brulant dans les entrailles de ce monde.
Celui ci rongea la terre, détruisant tout sur son passage, pas seulement la vie, mais le monde lui même. Cela faisait déjà 250ans qu’Ael était mort, et la barrière protectrice de ce monde, percée de l’intérieur, ne pouvais plus garder intacte une si grande surface.
Tandis que les enfants d’Ael continuaient de se battre aux portes de chaque ville en ruine contre les assauts répétés d’Eris, les Damnés finirent l’arche, assurant une survie aux habitants de ce monde si celui ci venait a être détruit.
Cependant , le commun des mortels se refusait a quitter ce monde, et se sont promis que s’ils ne sauveraient pas ce monde, il seraient la pour périr avec lui. Les Damnés, et leur philosophie, ne portait guère de valeur a un territoire quand eux même se permettaient de voyager d’un monde a l’autre.
Mais malgré leur refus de se sacrifier pour des êtres dénués de magie, leur honneur les poussait a ne pas les abandonner pour autan. Les plus anciens et puissants des Damnés se réunirent, s’ils se devaient de ne pas disparaitre, ils se dévouèrent par contre a un sacrifice de taille.
Nés des enfants mêmes d’Ael, qui créa la barrière, et des miasmes d’Eris, qui leur conféra des pouvoirs divins, ils utilisèrent ce sang mêlé pour contrôler le bouclier du créateur, réduisant sa portée mais augmentant sa puissance, en puisant dans celle du dieu fou.
Si les mages, tels qu’on les nomme aujourd’hui, n’utilisèrent pas leur propre puissance pour cela, ils servirent de catalyseurs, traversés par des flux de puissance démesurés, la plupart d’entre eux moururent pendant leur action, d’autre des conséquences de celle ci, et les survivants devinrent pour la plupart plus dangereux
que les Bélirs même.
Eris se retrouva affaibli. Surpris par la véhémence de ces êtres inférieurs, il les avait sous estimés et avait commis une erreur stratégique importante.
En se mutilant lui même, en répandant son sang, il avait poussé la combattivité de ses adversaires a l’extrême, s’affaiblissant lui même et renforçant leur moral, car blessé il avait mis moins d’ardeur lors de ses précédents assauts.
Pris de panique, craignant pour la première fois la défaite et la mort, il se rua sur les contrées de Belveres, là ou sous un amas de ruine, beaucoup d’hommes s'étaient abrités.
Ne pouvant se résoudre a creuser pour dénicher chaque vermine de chair sur toute la surface de ce monde, il décida que l’avenir se jouerai sur cette bataille. Arrachant les derniers vestiges des ailes qu’il eut autrefois, il cristallisa son propre sang,
s’armant de deux lames. Il en plantant une dans la terre. Il concentra toute son attention sur les parts de lui qu’il y avait versé plus tôt. Il pointa l’autre vers le ciel, visant ce bouclier invisible dont il sentait la présence.
Si les Damnés avaient pu lui soutirer de sa puissance pour la mettre dans ce bouclier, grâce a leur sang mêle, son pouvoir mélangé a celui de son frère lui donnerai surement un contrôle sur la protection de ce monde.
Il avait raison.
Absorbant la puissance du bouclier et récupérant celle qui avait laissé dans les profondeurs d’Aelthir, il envoya son sang et sa puissance cristallisée a la rencontre de la protection d’Ael dans le but de la faire céder.
Si les mages étaient dans un autre monde, et donc selon la logique d’Eris a ce moment la, n’aurait en aucun cas pu intervenir, le monde dans lequel ils se trouvaient était la futur création de Ael, qu’il laissa inachevé et sans vie, Verael.
Les mages n’eurent donc aucun scrupule a faire s’effondrer ce monde sur le point ou Eris tentait d’éventrer le bouclier d’Aelthir, en rompant les lignes du temps de ce plan.
La chute de ce monde ne faisait pas pour autan peur a cet ancien dieu, qui abandonna son plan d’origine, planta la deuxième lame dans le sol pour gagner en appuis, tentant de se soustraire a l’inévitable.
Si Eris fut un dieu, il n’était maintenant plus qu’une monstrueuse créature blessée, et si fort il était demeuré, ses épaules ne surent supporter le poids d’un monde.
Son corps sanglant se fissura, il résistait de plus belle, contractant sa chair au point d’en broyer ses organes, ses membres se brisèrent, un grondement de rage et de désespoir, le désespoir d’un autre condamné a la fin qu’il réservait a tous sans jamais la craindre, le sol se déroba sous lui, ainsi que sa volonté.
La force incommensurable de ce phénomène enfonça profondément dans la terre le cadavre du déchu, parsemant le cœur d’Aelthir du sang cristallisé d’Eris, et ne laissant a la surface que les lames maudites et quelques sphères de sang en suspension.
Ce sang d’Eris fut par la suite entretenu a la nef des mages, Elieris, que l’on considère comme déphasé, qu’importe le cataclysme qui pourrait y avoir lieu, la seule répercutions possible en Aelthir sera la destruction de la Nef elle-même, qui aujourd’hui est la seule source de énergie alimentant le bouclier, via le sang d’Eris conservé et cultivé dans les bas-fond de ce lieu que l’on pourrai qualifier de salvateur comme de destructeur.
Là ou le du sang était resté en suspension, au dessus des catacombes qui abritèrent un grande partie de l’humanité, se construisit Almeria, siège de l’Ordre, une ville sous la protection même de ce qui aurai put tout détruire, sans pour autan vivre dans une totale sérénité.
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Screens de projets :
Almeria:
Safe-Zone du Varen
Astandar : Ville principale des Valknieres
Siège de la nation d'Orontir
Eneerad:
Sabblion:
Celvaris:
Le camp d'entrainement des assassins:
D'autres projets sont à venir et d'autres encore sont secrets ^^
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Adresse du Mumble (10 k slots) : mumble-1.verygames.net
Port Mumble : 50238
Adresse Serveur : 77.111.251.47
Contact Skype : Cyrares Tepes
Passage en 1.5 effectué.
Launcher : Donné sur Mumble ou Skype
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Au plaisir de vous voir sur le serveur !
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