Jeu Ecrivez la suite.
- Auteur de la discussion Obliteration4Smash
- Date de début
... car cela n'a ni queue ni tête. Cependant, dans une planète elle-aussi peuplée d'humain, proche d'Alpha du Centaure, se déroulait une étrange histoire au XXVe siècle. Mais revenons au point curieux : comment se fait-il que des humains se trouvent sur cette planète, Anissor ? Évidemment, seules la chance et l'évolution n'ont pu aboutir à une civilisation humaine, qui de surcroît possède un taux de civilisation similaire à celui de la Terre.
Lors de la conquête spatiale du XXe siècle, deux astronautes américains, un homme et une femme, furent envoyés en mission pour orbiter autour de la Lune. Au bout de 42 heures de vol, toutes les communications étaient coupées, et il n'y avait plus aucune trace de l'appareil. Les deux astronautes avaient été déclarés morts par le gouvernement américain une semaine après leur décollage, qui n'avait pu conclure quand au mystère de cette disparition.
Pendant le vol, les astronautes ont pu remarquer une distorsion dans l'espace-temps peu avant la Lune. Il s'agissait d'une courbure de l'univers, communément appelée "trou de ver" dont on supposa l'existence au début du XXIe siècle. Happés par le fort champ gravitationnel crée par le trou de vert, l'appareil des deux astronautes n'eu d'autre choix que de s'y lancer.
C'est ainsi que le scientifique et l'ingénieure débouchèrent en orbite d'Anissor, planète qu'ils nommèrent à leur arrivée dessus. Voyant une planète verte et bleue, de couleurs similaires à la Terre, ils décidèrent de s'y poser de la même manière que se serait passé leur retour. Puis, voyant de nouvelles formes de vies à l'extérieur du module, ils décidèrent de sortir, pensant l'air respirable, chose qui fut ensuite confirmée.
Puis, sachant qu'ils étaient condamnés à mourir sur leur planète sans possibilité de retour (le trou de ver s'étant refermé derrière eux par des mécanismes quantiques encore inexpliqués), ils décidèrent de perpétuer l'espèce humaine ici. Ils fondèrent alors une communauté tous deux, et évitèrent la consanguinité de leur progéniture par des processus génétiques complexes élaborés par l'homme. C'est ainsi que se développa l'espèce humaine sur cette planète, et qui évolua rapidement, pourvue dès son arrivée d'un savoir et d'une culture importants, puis de la diversité allélique nécessaire pour perdurer.
Le but initial était de revenir sur Terre et recontacter le berceau de l'humanité, mais le trou de ver était absent. C'est finalement au bout de la troisième génération que la courbure réapparut, telle un portail avec certains horaires d'ouverture, mais ce à l'échelle d'une vie.
Toute sorte de science se développait au fur et à mesure que la population croissait et découvrait la planète, atteignant ainsi à l'aube du XXV siècle vingt millions d'habitants cultivés et technologiquement aussi avancés que sur Terre. Tous attendaient l'ouverture du portail prévue pour 2567, et espéraient avoir fini de construire le lanceur et le vaisseau nécessaire pour retourner sur Terre. Cependant, c'est alors que se produisit quelque chose inattendu ...
Edit : j'suis le seul à me faire chier avec des scénarios biens ici ? :3
Lors de la conquête spatiale du XXe siècle, deux astronautes américains, un homme et une femme, furent envoyés en mission pour orbiter autour de la Lune. Au bout de 42 heures de vol, toutes les communications étaient coupées, et il n'y avait plus aucune trace de l'appareil. Les deux astronautes avaient été déclarés morts par le gouvernement américain une semaine après leur décollage, qui n'avait pu conclure quand au mystère de cette disparition.
Pendant le vol, les astronautes ont pu remarquer une distorsion dans l'espace-temps peu avant la Lune. Il s'agissait d'une courbure de l'univers, communément appelée "trou de ver" dont on supposa l'existence au début du XXIe siècle. Happés par le fort champ gravitationnel crée par le trou de vert, l'appareil des deux astronautes n'eu d'autre choix que de s'y lancer.
C'est ainsi que le scientifique et l'ingénieure débouchèrent en orbite d'Anissor, planète qu'ils nommèrent à leur arrivée dessus. Voyant une planète verte et bleue, de couleurs similaires à la Terre, ils décidèrent de s'y poser de la même manière que se serait passé leur retour. Puis, voyant de nouvelles formes de vies à l'extérieur du module, ils décidèrent de sortir, pensant l'air respirable, chose qui fut ensuite confirmée.
Puis, sachant qu'ils étaient condamnés à mourir sur leur planète sans possibilité de retour (le trou de ver s'étant refermé derrière eux par des mécanismes quantiques encore inexpliqués), ils décidèrent de perpétuer l'espèce humaine ici. Ils fondèrent alors une communauté tous deux, et évitèrent la consanguinité de leur progéniture par des processus génétiques complexes élaborés par l'homme. C'est ainsi que se développa l'espèce humaine sur cette planète, et qui évolua rapidement, pourvue dès son arrivée d'un savoir et d'une culture importants, puis de la diversité allélique nécessaire pour perdurer.
Le but initial était de revenir sur Terre et recontacter le berceau de l'humanité, mais le trou de ver était absent. C'est finalement au bout de la troisième génération que la courbure réapparut, telle un portail avec certains horaires d'ouverture, mais ce à l'échelle d'une vie.
Toute sorte de science se développait au fur et à mesure que la population croissait et découvrait la planète, atteignant ainsi à l'aube du XXV siècle vingt millions d'habitants cultivés et technologiquement aussi avancés que sur Terre. Tous attendaient l'ouverture du portail prévue pour 2567, et espéraient avoir fini de construire le lanceur et le vaisseau nécessaire pour retourner sur Terre. Cependant, c'est alors que se produisit quelque chose inattendu ...
Edit : j'suis le seul à me faire chier avec des scénarios biens ici ? :3
Dernière édition:
C
Compte supprimé
Invité
.. mais ce n'est pas le sujet, il restait donc 2 mois avant la fin de la galaxie causé par quelques inconscients....
... Et tout à coup un bg sauvage apparût pour déterrer cette histoire vieille de plusieurs millénaires, et dont tout le monde avait oublié le sens...
