/* Attention, le contenu qui va suivre peut être mélangeant, voire même perturbant (Ouais j'parle d'Hitler). Si vous n'êtes pas prêt à faire face à la réalité des choses (Bande de faibles), foutez le camp. *\
Bonjour, sachez que ce qui va suivre n'est qu'une interprétation de la réalité, cette interprétation (D'où la définition du mot) sera différente pour chaque être pensant.
Maintenant, débutons !
J'ai longuement pensé à ce que nous vivons chaque jour, en tant qu'êtres humains. J'en suis venu à une refléxion plutôt simple, mais complexe dans l'ensemble. D'ailleurs, celle-ci a déjà été présentée, il me semble, par Aristote... On l'appelle la métaphysique. La métaphysique, en une phrase, c'est tout ce qui s'interprète. En définition, ça donne méta, qui veut dire « avant » et physique, qui veut dire « pamplemousse », non en fait ça veut dire physique. Donc la métaphysique, c'est tout se qui explique ce qui était ou ce qui est avant... ? C'est pas très clair je pense. Bon voilà, je vais vous expliquer en plus simple.
La métaphysique se divise, entre autres, en deux parties, la réalité objective et la réalité subjective. Appelons ces derniers « ce qu'on voit » et « ce qu'on interprète ». Pour être encre plus simple, faisons un petit schéma. Premièrement, la réalité subjective ou « ce qu'on voit ».
La réalité objective, c'est tout ce qu'on voit, ce qui « existe » dans un environnement commun et que tous partagent. Par exemple, dans cette réalité, on retrouve le Soleil, les représentations, les objets, les voitures, etc. C'est tout ce qui existe physiquement et virtuellement dans certains cas (Par exemple, un courriel). C'est tout ce qu'on peut vivre de la même manière, par exemple, deux personnes peuvent acheter la même voiture.
Ensuite, il y a la réalité subjective. Là, c'est tout ce qui s'interprète, qui se voit différemment, qui se ressent. Par exemple, on y retrouve le temps, l'amour, les couleurs, la beauté, la douleur et les sens (Le goût, le toucher, etc.).
Là, certains d'entre vous se disent tout de suite : « Hey mais l'amour, ça se voit quoi... deux personne qui s'embrassent. Ah aussi, même chose pour le temps kwa, une horloge...». Eh bah désolé, mais vous êtes, selon la métaphysique, dans l'erreur. On ne voit pas l'amour, on voit une représentation (Comme j'ai cité dans réalité objective) qui nous fait penser que c'est l'amour, mais dans certains cas, l'amour peut s'interpréter de manière différente. Par exemple, quelqu'un qui voit un fouet ne pensera pas tout de suite à une scène érotique (Sauf s'il est maso). Deux personnes qui s'embrassent n'est pas non plus toujours signe d'amour, voire par exemple dans certains pays où les hommes bisent pour saluer.
Puis, même chose pour le temps. Combien de fois avez-vous remarqué que le temps passe plus vite quand on s'amuse ou quand on travaille... De plus, l'horloge est également une représentation. Voilà, il me semble, à confirmer avec Sigma, que le temps (Selon la théorie de relativité) est relatif à la personne qui l'observe (le vit) ? Bref, n'allons pas plus loin.
Bon, maintenant qu'on sait que disons : « Je vois une pâtisserie, miam j'adore le chocolat » est différent de « Je vois une pâtisserie, beurk c'est dégueulasse ». En fait, maintenant qu'on sait que tout peut s’interpréter d'une manière différente.
Voilà, pas obliger de débattre que sur le sujet d'Hitler, d'autres exemples sont aussi bons : L'amour, voire le sadomasochisme, le bien et le mal, les lois, etc.
D'ailleurs, pour ceux qui voudraient dire « Ouais bah dans le fond, tout est relatif... », sachez que la phrase que vous venez d'utiliser est elle aussi relative. De plus, l'expression « Je pense donc je suis » est confirmée par la métaphysique. Si un être pense, c'est qu'il peut interpréter, et s'il peut interpréter, c'est qu'il interprète quelque chose d'objectif et donc qui existe dans une réalité.
Bon c'est tout, /débat.
Bonjour, sachez que ce qui va suivre n'est qu'une interprétation de la réalité, cette interprétation (D'où la définition du mot) sera différente pour chaque être pensant.
Maintenant, débutons !
J'ai longuement pensé à ce que nous vivons chaque jour, en tant qu'êtres humains. J'en suis venu à une refléxion plutôt simple, mais complexe dans l'ensemble. D'ailleurs, celle-ci a déjà été présentée, il me semble, par Aristote... On l'appelle la métaphysique. La métaphysique, en une phrase, c'est tout ce qui s'interprète. En définition, ça donne méta, qui veut dire « avant » et physique, qui veut dire « pamplemousse », non en fait ça veut dire physique. Donc la métaphysique, c'est tout se qui explique ce qui était ou ce qui est avant... ? C'est pas très clair je pense. Bon voilà, je vais vous expliquer en plus simple.
La métaphysique se divise, entre autres, en deux parties, la réalité objective et la réalité subjective. Appelons ces derniers « ce qu'on voit » et « ce qu'on interprète ». Pour être encre plus simple, faisons un petit schéma. Premièrement, la réalité subjective ou « ce qu'on voit ».
La réalité objective, c'est tout ce qu'on voit, ce qui « existe » dans un environnement commun et que tous partagent. Par exemple, dans cette réalité, on retrouve le Soleil, les représentations, les objets, les voitures, etc. C'est tout ce qui existe physiquement et virtuellement dans certains cas (Par exemple, un courriel). C'est tout ce qu'on peut vivre de la même manière, par exemple, deux personnes peuvent acheter la même voiture.
Ensuite, il y a la réalité subjective. Là, c'est tout ce qui s'interprète, qui se voit différemment, qui se ressent. Par exemple, on y retrouve le temps, l'amour, les couleurs, la beauté, la douleur et les sens (Le goût, le toucher, etc.).
Là, certains d'entre vous se disent tout de suite : « Hey mais l'amour, ça se voit quoi... deux personne qui s'embrassent. Ah aussi, même chose pour le temps kwa, une horloge...». Eh bah désolé, mais vous êtes, selon la métaphysique, dans l'erreur. On ne voit pas l'amour, on voit une représentation (Comme j'ai cité dans réalité objective) qui nous fait penser que c'est l'amour, mais dans certains cas, l'amour peut s'interpréter de manière différente. Par exemple, quelqu'un qui voit un fouet ne pensera pas tout de suite à une scène érotique (Sauf s'il est maso). Deux personnes qui s'embrassent n'est pas non plus toujours signe d'amour, voire par exemple dans certains pays où les hommes bisent pour saluer.
Puis, même chose pour le temps. Combien de fois avez-vous remarqué que le temps passe plus vite quand on s'amuse ou quand on travaille... De plus, l'horloge est également une représentation. Voilà, il me semble, à confirmer avec Sigma, que le temps (Selon la théorie de relativité) est relatif à la personne qui l'observe (le vit) ? Bref, n'allons pas plus loin.
Bon, maintenant qu'on sait que disons : « Je vois une pâtisserie, miam j'adore le chocolat » est différent de « Je vois une pâtisserie, beurk c'est dégueulasse ». En fait, maintenant qu'on sait que tout peut s’interpréter d'une manière différente.
La question est, est-ce que toute interprétation est bonne ?
Voyons, par exemple, dans cette situation : Hitler arrive au pouvoir en Allemagne, il redresse la situation et fait rouler l'économie plus que jamais. Puis, il s'engage à exterminer plein de juifs. Pour certains, Hitler est un monstre, pour d'autres, c'est un héros qui a permit au pays de perdurer. Mais sachant qu'Hitler a commit des actions bonnes et des actions terribles, on le juge de façon différente selon nos valeurs, choix, modes de vie ?Voilà, pas obliger de débattre que sur le sujet d'Hitler, d'autres exemples sont aussi bons : L'amour, voire le sadomasochisme, le bien et le mal, les lois, etc.
D'ailleurs, pour ceux qui voudraient dire « Ouais bah dans le fond, tout est relatif... », sachez que la phrase que vous venez d'utiliser est elle aussi relative. De plus, l'expression « Je pense donc je suis » est confirmée par la métaphysique. Si un être pense, c'est qu'il peut interpréter, et s'il peut interpréter, c'est qu'il interprète quelque chose d'objectif et donc qui existe dans une réalité.
Bon c'est tout, /débat.