Une fois n'est pas coutume, mon VDD n'étant autre que moi-même, je m'adresse ce petit poème (puisqu'il est pour moi-même, je m'autorise le vers libre) :
Ô divinité sciuridé,
Toi qui a tant souffert.
De ton vivant, détesté de tous,
Maintenant mort, pleuré par les ombre.
Pendant longtemps tu as agi,
Dans l'ombre tu as opéré,
La suppuration tu as étanché,
La gangrène tu as fauché.
Maintenant c'est toi le fauché,
La mort est venue te chercher
Pour au loin t'emmener.
Adieu, moi-même.