[RP] Le background de mon personnage Minecraft.

Sangiis-

White Scythe
17 Juillet 2012
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- Fiche de personnage -

Prénom : Sangiis.

Nom : Inconnu.

Surnom : La renaissance de K'thar.

Taille : 1M75

Accoutrement : Tenue sombre avec une capuche qui couvre son visage. Cape en peau de loup. Gants en cuir sombre.
Ceinture en cuir sombre.

Armes de prédilection : couteaux de lancer, hache, arbalète.

Qualités : Ouïe ultra développée, agile.

Défauts : Fourbe, avare.

Autre : Il a un loup comme animal de compagnie.
- Background -

Introduction :

Il était encore tôt, quand il les trouva à la lisière de la forêt. Il chassait pour avoir de quoi manger, c’était sa profession. Il les ramena dans sa cabane, non loin d’ici, et les posa délicatement sur la table. Ils étaient enveloppés dans une cape en peau de loup, assez grande pour un adulte : un enfant ainsi qu’un louveteau. Tout deux possédaient un même tatouage rouge sang représentant une tête de loup vu de face, l’un sur le bas de sa main droite, l’autre sur le bas de la patte gauche. Il dû les nourrir et les loger, en prendre soin comme si c’était les siens, les voir grandir. Ont leurs donnait un mois quand il les eux trouvés, et il était devenu comme leur père depuis. Leur père adoptif. Il les éleva du mieux qu’il put.



I – Le début des ennuis.

Sangiis avait du mal à se faire des amis, il est vrai que ce n’était pas son fort et surtout qu’il n’aimait pas ça, pour lui seul la famille comptait {mis à part son loup}. Il ne se sentait jamais seul, il jouait tout le temps avec celui qu’il considérait comme le plus important, le loup qui avait grandit avec lui. Il faisait souvent l’objet de moqueries, mais cela ne durait guère quand Errund qui était à ses côtés montrait les crocs. Il avait déjà eu des différents avec des enfants nobles, se qui ne plaisait pas beaucoup à son père qui n’était qu’un simple chasseur qui lui donnait alors des leçons, toujours en lui expliquant bien gentiment ce qu’était l’inégalité sociale. Dès ses 8 ans, Sangiis apprit avec son père les bases de la chasse, il se perfectionna dans le maniement des couteaux de lancer et de l’épée. Il apprenait à côté à se servir d’arbalète. Bien que cela lui plaisait, son père avait peur qu’en lui apprenant le maniement des armes, il oserait s’attaquer à des enfants de nobles.



Il était arrivé ce jour. Ce jour ou un enfant de noble l’avait provoqué, insulté, bafoué son honneur. Ce jour ou Sangiis lui planta un couteau de lancer entre ses deux yeux. Le sang coulait à flot depuis le crâne de l’enfant, Sangiis lui, criait et hurlait, il venait de commettre un crime. Qui plus est, il avait tué un noble ! Il rentra en courant chez lui, ne pouvant cacher ça à son père adoptif. Son père fou de rage, lui cria dessus pendant une minute, puis se dit alors que cela ne servirait à rien. Sangiis serait exécuté s’il restait ici. Il lui prépara donc ses affaires, de quoi tenir une semaine tout au plus, il lui offrit les armes qu’il avait l’habitude de manier, puis lui offrit la possibilité de survivre, partir loin, se faire oublier.


II – Le gout du sang.

De ses 10 ans à ses 20 ans {période ou Sangiis devait fuir et se cacher, alors qu’il était encore très jeune}, Sangiis fut victime d’un traumatisme, quelque chose qui le marqua {Notons que c’est surement pour ça qu’il est si avare}. L’argent était le seul moyen pour lui de vivre, hors il n’en avait jamais eu depuis son départ. La manche qu’il pratiquait peu souvent pour éviter de se faire repérer, ne lui avait jamais rien rapporté. Lors de ses 21 ans, alors qu’il dormait dans une ruelle sombre aux côté d’Errund, un vieil homme l’interpela. Il était vêtu d’une tenue sombre. Sangiis s’approcha, méfiant de la personne qui se tenait face à lui. L’homme lui dit :

« Viens donc chez moi pauvre homme, il faut que nous parlions toi et moi. Suis moi, ne t’en fais pas. »
A quelques pas d’ici, l’homme s’arrêta devant une petite maisonnette, cachée parmi de grandes villas. Il sorti une clef et ouvrit la porte puis il fit signe à Sangiis de rentrer.


« Avant tout laisse moi me présenter, je me prénomme Mors, je suis un des partisans du culte de K’thar, et je sais qui tu es, tu sais tu devrais mieux te cacher lorsque tu es en ville, on te reconnaitrait sans doute. J’ai eu vent de ton enfance, je sais que tu es un meurtrier. »
- Il l’avait cherché ! Ce bon à rien de noble n’était qu’une pauvre merde couverte d’or ! Mais avant de parler de ce que vous savez sur moi, pourquoi m’avoir fait venir ici ?
- Et bien pour une simple et bonne raison, je sais que tu es pauvre et que tu dois te cacher, que tu ne peux pas bien vivre, tu ne manges quasiment jamais et boire t’es difficile. J’ai un moyen pour toi de vivre comme tu l’entends, par un moyen qui ne te plaira pas forcément certes mais qui te permettra d’être tranquille pour le restant de tes jours.
- Que dites vous la ? Seul un riche peut vivre comme il le souhaite, ce n’est pas du jour au lendemain que je vivrais comme je l’entends.
- Ecoute, je te propose de nous rejoindre, nous les partisans du culte de K’thar !
- Dites m’en plus sur ce culte, vous savez, je ne suis pas du genre religieux !
- Religieux ? Haha ! Le culte de K’thar ne vénère pas ! Il respecte la mémoire de K’thar, défunt Sicaire, très connu dans le monde entier pour tout les meurtres qu’il a commis !
- Sicaire ?! Vous voulez que je devienne une machine à tuer ? Un tueur à gage ?
- Je suis sûr que tu as les talents requis ! Tu serais un bon tueur, et comme je te l’ai dit, cela paye très cher ! Enfin, au plus c’est important au mieux c’est payé !
- Qu’entendez-vous par là ? Il est possible de tuer des nobles et de devenir riche ?
- Humm… On peut voir ça comme ça…
- Ecoutez ! J’accepte ! De toute façon, je n’ai aucun autre choix, mis à part pourrir dans une ruelle, je préfère risquer ma vie et devenir riche en tuant mes ennemis jurés !

III - Rependre.

Sangiis était devenu un sicaire, un vrai, ceux dont on parle jusqu'à la nuit des temps, grâce à ses exploits il devint un des plus gros partisan de K'thar, un assassin d'exception. Il avait achevé tellement de missions, avait servi son culte avec le plus grand honneur ! Et tout cela en même pas 17 ans ! On le comparaissait à K'thar lui même des fois ! Mais il lui restait une dernière tâche, tout aussi importante que les autres. Rependre ! Rependre le culte de K'thar sur tout le globe. Faire entendre son nom ailleurs, pour que tous puissent vénérer le plus grand tueur à gages de tout les temps.

Il sorti sa bourse et la donna au marin et quelques heures plus tard, on levait l'ancre et l'on dépliait les voiles. Le bateau partait vers une nouvelle terre, peu connue. Cela l'importait peu. Où qu'il aille, il devait servir son culte. La traversée fut longue, mais sans encombre, et au bout de quelques jours, quelqu'un cria : De la terre ! J'aperçois une contrée ! Puis un village !
C'était elle, la contrée d’Eradom.

IV - Rencontre.

Sangiis marchait maintenant depuis des heures, et lorsque le soleil commençait à se coucher, il pensa important de chercher un coin, plutôt caché dans la forêt. En effet, il fallait être vigilant, dans ce bois, beaucoup de cadavres jonchaient le sol, apparement tués par des sauvages de la zone, les gardes patrouillaient pour essayer d'arrêter le plus grand nombre d'entre eux. Ce fut par hasard que près d'une cascade ou l'eau coulait à flot que Sangiis découvrit une grotte, un peu cachée par d'autres rochers. Un bon lieu pour se cacher, mais peut être un repère pour l'ennemi. Discrètement, il y entra. Il entendit des voix, relativement proche de lui ainsi que la lueur d'un feu. L'odeur d'une viande qui semblait alléchante flottait dans l'air, hors Sangiis commencait à avoir faim. Il se faufila du mieux qu'il pu et tua les deux sauvages qui semblaient loger ici. Après avoir festoyé, il dit à Errund qui l'attendait dehors bien sagement que la voie était libre, qu'il pouvait désormais entrer avec lui. Le loup se blottit contre lui, et tout deux entamèrent un petit sommeil.

Un bruit de pas se fit entendre, Sangiis était prêt à dégainer sa dague et Errund montrait les crocs. Le loup ayant trop fait de bruit se fit entendre par la personne qui répliqua alors : Je ne suis pas un sauvage, ne vous en faites pas.
Sangiis peu confiant mais assez tout de même rappela Errund à lui et lui dit :

- Reviens ici, laisse le donc ! Il mourra de la main des gardes très bientôt, comme les autres.
L'homme répliqua : Qui es tu pour te trouver ici en ma compagnie dans cette grotte sombre ? [Sangiis avait éteint le feu]

- Je suis aussi un clandestin mais cet grotte est mon refuge pour la nuit , part tu risquerais de nous faire repairer , laisse nous nous reposer , moi et Errund avons fait un long voyage , il est temps pour nous de nous reposer .

- Je ne vais pas vous déranger plus longtemps je dois m'empresser de partir vers la capitale Erion pour remplir ma besace de nourritures et réparer mon armure .

- Fais bon voyage que les Sicaires de K'thar t'accompagnent .

Après avoir fait une petite sieste, Sangiis et Errund sortirent de la grotte et se remirent à marcher. Dans la forêt, tout était calme, seul le bruit de quelques oiseaux nocturnes se faisaient entendre, rarement. Mais alors que le calme régnait dans la forêt, un énorme cri se fit entendre non loin d'ici.

- JE SUIS UN CLANDESTIN JE ME REND VENEZ ME CAPTURER , c'est cette voix puissante qui aurait fait frémir plus d'un homme qui perça le calme qui devenait habituel.

Sangiis ne mit pas longtemps avant de comprendre qui était l'homme qui venait de crier et il ne mit pas non plus longtemps pour savoir que bientôt ce viel homme serait attaqué par les gardes. Ayant aimé l'échange [Bien qu'il fut bref] avec le viel homme, Sangiis se dit qu'il valait la peine d'être sauvé. Il couru donc vers l'endroit d'ou provenait le cri. Bientôt il rattraperait l'homme et lui demanderait de faire route ensemble.


- Introduction RP d'un de ses pouvoirs -
I - Brûlure de sang :

Il courait, le sang giclait et coulait, son bras était profondément entaillé. La voix de l'homme qui le poursuivait dans ce couloir sans fin résonnait sur les murs comme un écho.

"Tu ne peux y échapper, c'est le destin qui a choisi cela et tu porteras la marque !"

- Jamais je ne la porterais, et je lutterais jusqu'au bout s'il le faut !

Sangiis voyait le bout du couloir, mais il ne semblait y avoir aucun issu. Il chargea pour tenter de détruire le mur, sans succès. Il fit un demi tour et faisait desormais face au monstre.
Il sortit ses deux griffes en acier tranchant et un échange de coup entre la créature et l'assassin se fit entendre dans tout le couloir. Par la suite, plusieurs autres échanges eurent lieux, et au bout de l'épuisement, tout deux s'arrêtèrent.
Ils se dévisagèrent, puis le monstre à la chair morte fonça et attrapa le coup de Sangiis de sa main géante. L'homme était paralysé et s'étouffait de l'étreinte. Le colosse du bout du doigt prit du sang de la plaie et arracha la tenue du sicaire au niveau de son épaule et y dessina un sigle. Le mouvement brûlait l'épaule de Sangiis. Quand ce fût fait, le géant lâcha Sangiis et disparu dans une fumée épaisse et noire.

II - Réveil étrange :

Sangiis se réveilla en hurlant, enleva sa tenue et regarda son épaule. Il était là, le sigle de sang, peint sur son bras. Il ne comprenait pas comment quelque chose qui s'était produit dans son cauchemard pouvait être "matérialisé" dans le monde réel. Il le toucha mais retira très vite sa main, la brûlure se faisait encore sentir. Toute la matinée, il se questionna sur le cauchemard de la nuit dernière. Une personne pourrait peut être l'éclaircire sur cette affaire, le nécromancien exilé. Trois heures durant il marcha vers le pic de la montagne, là ou se trouvait le donjon du mage sombre. Une fois devant l'entrée, un aura violet/sombre lui ouvrit violemment la porte.

III - Révélation mortuaire :

Sur son trône, le nécromancien attendait Sangiis. Une fois en haut de la grande tour, l'assassin se présenta dans la pièce sombre et salua le mage.
La voix du mage résonnait dans la pièce et se faisait même entendre dans les pensées de Sangiis.

"Je sais pourquoi tu es là et je vais te répondre"

- Quelle est cette magie, qui te permet de rentrer dans mon esprit ! Ta voix résonne de partout, c'est insupportable !

- Faible assassin, ne t'avises pas de me parler sur ce ton. Je vais maintenant te répondre. C'est le démon des arcanes Asphel qui t'as posé cette marque. Par sa puissance il a brisé les chaines de ton esprit et s'est introduit dans ton cauchemard afin de te peindre ce sigle. Tu es maintenant porteur de la marque du "trépas corrompu". Chaque fois que tu seras au plus haut de ta rage, cette marque te transformera en démon et la faux qui te seras donnée sera une arme très puissante. Tu ne pourras cependant utiliser cette force, tu seras inconscient dans ta rage.

- Pourquoi devrais-je porter cette marque ! Je n'ai aucun lien avec ces monstres !

- La prochaine fois que tu lèves la voix, tu seras directement transformé en poussière. Pour te répondre, tu as un lien avec eux. Parmis les ages, certains héros sont prédestinés à posséder cette marque, c'est l'handicape qui leur est fourni en échange de leur divine puissance. C'est irreversible, tu porteras le sigle du trépas corrompu.

- Merci de vos explications.

- Maintenant quitte ces lieux.