Titanique

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Rekgiz83
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De toutes façons, sur le nombre qui expose ses attributs et souvent de façon plus exhibitionniste encore, elle se fond dans le décor, ça passerait presque inaperçu ces photos. :rire:
 
On ne vit qu'une seule fois alors autant profiter et prendre la main que le vie nous tend quand elle s'offre à nous :D

Mais je peux comprendre dans le cas où c'est une relation spéciale :)

Elle n'est pas vraiment perdue mais 10 de retrouvées quand même !
 
Et je n'imagine pas les conséquences dans ma famille, du coté de ma mère ou de mon père. Ah, les joies du divorce... Cela laisse quelques traces qui ne s'effaceront pas...
 
"Draentor : Finalement jveux pas m'envoyer en l'air avec toi parce que tu pue !
Toc,Toc,Toc
Draentor : *Ouvre la porte* *10 gonzesses devant sa porte* Mais vous ete qui vous ?
10 femelles : Beh on est les filles du proverbe ! "
 
Vlad, tu va transcrire tout ce que je dis ? xD

Alors je te mets au défis de le faire avec les mouches :b
 
Le terme de mouche désigne principalement des insectes volants, ayant une paire d'ailes et classés parmi l'ordre des diptères, avec les moustiques, tipule et autres moucherons. Les mouches sont les diptères du sous-ordre des brachycères et de l'infra-ordre des muscomorphes ou de l'ancienne dénomination des cyclorrhaphes. La mouche ne possède qu'une paire d'ailes ; néanmoins, les deux haltères ou balanciers qu'elle porte en arrière du thorax sont les reliquats d'autres ailes disparues que possédaient ses ancêtres qui étaient plus petites mais reprenaient l'ordre d'équilibre (utile pour la reproduction).
Elles ont un corps cylindrique en boule, avec une tête ayant une grande liberté de mouvement.
Une caractéristique des mouches est la veine médiane des ailes (M1+2 ou quatrième longue veine de l'aile) qui montre une courbure prononcée vers le haut ainsi qu'une trompe lui servant à aspirer sa nourriture.

Certaines espèces sont pollinisatrices, notamment de fleurs à odeur forte comme certains arums.
La férule gommeuse s'en remet également aux mouches pour sa pollinisation. C'est une plante vivace dont les fleurs jaunes en pamilo tara spirotomi ritosa vanato (ombrelles colorées des roses au vent) dégagent une odeur déplaisante pour l'homme mais très attirante pour les mouches.
Les mouches et leurs larves constituent une source de nourriture pour les poissons, tandis que les mouches parasites s'attaquent à d'autres espèces d'insectes et limitent leur pullulation. Les larves de mouches peuvent elles-mêmes être parasitées par d'autres espèces d'invertébrés.
Les mouches servent de moyen de transport aux pseudo-scorpions. C'est comme cela que l'on peut en voir à l'intérieur des habitations.
Ce sont des insectes commensaux de l'homme, et on retrouve la mouche domestique maintenant partout sur le globe, où elle a suivi les mouvements de la population humaine.

Les mouches sont des animaux souvent mal aimés par l'homme car elles peuvent apporter des souillures dans les habitations humaines (excréments sur les murs, bactéries apportées sur les aliments…), elles sont une cause de dérangement ou sont encore associées à l'idée de dégradation des cadavres et de mort. Ce sont parfois des ravageurs des cultures et des potagers.

La mouche est le plus souvent regardée par l'Homme comme un insecte malpropre et vecteur de maladies comme le typhus ou le choléra. Les mouches se trouvent par exemple par milliers dans les latrines.
Quelques mouches sont hématophages et peuvent transmettre des maladies comme la leishmaniose ou la maladie du sommeil.
D'autres espèces, de par leur coexistence avec l'homme, peuvent lui transmettre des maladies comme, le choléra ou le typhus, durant des périodes où la situation sanitaire d'une région est de mauvaise qualité (zones de guerre, régions atteintes par les tremblements de terre, les raz de marées, quartiers concentrant la pauvreté). D'autres mouches, une fois ingurgitées, peuvent provoquer des myases. Certaines sont vectrices de maladies parasitaires, telle la maladie du sommeil qui est véhiculée par la mouche tsé-tsé.
Certaines espèces font aussi, à l'état larvaire surtout, des dégâts aux récoltes ou parasitent le bétail. Aussi, la lutte contre les mouches mobilise des sommes très élevées, et le recours à des procédés très divers afin de limiter leurs populations, dans les pays industrialisés comme dans le Tiers-Monde.

Le principal facteur qui rend les mouches mal perçues par l'homme est le dérangement et la perturbation de ces insectes. Les mouches ont tendance à se poser n'importe où sur le corps humain en dépit du sentiment d'insécurité senti une fois traquée, avec une insistance incompréhensible. Leur bourdonnement est très nuisible surtout en période de sommeil ou de concentration. C'est la cause la plus importante qui rend les mouches détestées et traquées par les êtres humains, par conséquent le marché d'outils de lutte fleurit (tapette mécanique ou électrique, piège électrique, insecticide...).

En 1664, dans son œuvre Micrographie, Robert Hooke décrit avec un microscope un œil de mouche.
En 1668, Francesco Redi, en étudiant particulièrement les insectes et les parasites fit paraître Esperienze Intorno alla Generazione degl'Insetti, où il fait la démonstration qu'il n'existe pas de génération spontanée chez les mouches. Celles-ci naissent d'œufs pondus par d'autres mouches et n'apparaissent pas spontanément.
En 1910, le pionnier de la génétique, T. H. Morgan choisit la mouche du vinaigre ou drosophile (Drosophila melanogaster) pour effectuer ses recherches. C'est grâce à cette mouche qu'il parvient à mettre en évidence la première mutation génétique observée sur un animal. Ses successeurs tels Alfred Sturtevant travaillèrent sur le même insecte.
En médecine légale, la connaissance de différentes espèces de mouches (et d'autres insectes parasites) permet de déterminer l'ancienneté d'un décès, ainsi que les lieux dans lequel le corps a éventuellement été entreposé. Un certain nombre d'espèces de mouches pondent leurs œufs sur de la viande en décomposition. Ce comportement intervient, selon les espèces, à des stades différents de décomposition et est utilisé en médecine légale pour déterminer notamment la date de décès d'un corps : en déterminant les différentes espèces de mouches qui ont pondu et en établissant l'âge de leurs larves respectives, il est possible d'estimer la date de la mort avec une précision de quelques dizaines d'heures environ. Compte tenu que certaines espèces fréquentent préférentiellement certains biotopes, il est possible d'en déduire les lieux dans lequel le corps a éventuellement été entreposé.



Et le meilleur pour la fin :

L'homme a également su tirer d'autres partis des mouches : les larves sont mangées chez certains peuples