Il y a très nettement un lien entre l'essor de la femme, leurs droits grandissants, leur investissement dans la politique, le mouvement féministe et l'inquiétante hausse de la stupidité, la perversion de la culture et la dégénérescence totale et générale de l'Occident. Ces formes de vie irrationnelles, prétendument douées de sensibilité, n'ont fait que saper la vie de figures masculines intellectuelles et puissantes au cours des cent dernières années, et nous, les hommes, avons commis la grave erreur aussi fatidique que fatale qu'est celle de nous être persuadés que ces succubes fonctionnaient comme de vraies personnes. Mais l'entièreté de la gent féminine n'est rien d'autre qu'un immense cortège d'outils de procréation, inaptes à vivre sans l'approbation d'un protecteur.
Laissez-moi donc étayer mes arguments.
Les femmes sont naturellement lâches. J'ai moi-même fait la connaissance de demoiselles m'ayant confié et avoué qu'elles et leur genre entier sont nés lâches. Ce sont des créatures timides dont les émotions assujettissent la logique et la rationalité, et qui sont donc incapables de diriger qui ou quoi que ce soit. Leurs émotions extrêmes sont déclenchées par des choses légères et sans importance, et, avec ces innombrables soucis, elles entravent le progrès de l'homme. Vous vous rappelez de la dernière fois que votre petite amie s'est mise en colère après vous pour cette petite broutille bien précise dont, à ce jour, vous ignoriez jusqu'à l'existence ? Imaginez ça régir une société ou un pays. Imaginez que cette dispute ait lieu avec un autre dirigeant mondial. Imaginez une guerre irrationnelle causée ni plus ni moins par les actions dévoyées d'une femme.
L'humanité a toujours été, depuis la nuit des temps, à dominante masculine, et ce pour une bonne raison. Les femmes connaissent leur place, et les hommes font en sorte qu'elles y demeurent. Allons jeter un coup d'œil aux prouesses accomplies lors de cette longue période d'histoire. Nous avons fait des prouesses d'un point de vue politique, comme la république et la démocratie. Nous avons progressé d'une manière significative au niveau technologique, avec l'irrigation, les jardins suspendus de Babylone, l'imprimerie, l'électricité, les usines, les voitures, les ordinateurs, et même Internet. Nous avons également réalisé des prouesses historiques, comme la révolution néolithique, la Révolution française et américaine. Nous avons les grands penseurs de l'histoire, comme Socrates, Aristote, Boèce, Bacon, Marx, Nietzsche, Borh, et, bien sûr, Einstein. Qui, à votre avis, était la personne la plus intelligente de l'histoire, qui pouvait changer votre façon de penser, aidée de son infinie sagesse l'élevant au même rang que les dieux ? C'était un homme, n'est-ce pas ? Du temps où notre société était gouvernée par le sexe fort, les hommes n'aimaient même pas les femmes. La plupart des grands hommes de l'histoire étaient homosexuels, ils n'avaient de femmes que pour assurer leur descendance. Shakespeare était une pédale, De Vinci était une pédale, pour n'en citer que quelques-uns. L'homme peut survivre sans la femme, sans compter la reproduction sexuée. Prenez la communauté homosexuelle actuelle, par exemple. Selon vous, pourquoi les pédés sont-ils si gais ? Avec les avancées de la génétique, il sera bientôt possible de produire des humains d'une manière suffisamment efficace pour ne plus jamais avoir à dépendre de la femme.
Maintenant, revenons dans des temps plus modernes. En 1920, le droit de vote a été accordé aux femmes pour un certain nombre de pays. Comme par hasard, la Grande Dépression arrive peu après. En 1966, nous avons eu une révolution culturelle. On me répondra qu'il n'y a pas de problème là-dedans, mais c'est à ce moment particulier que la police et le gouvernement sont devenus les « méchants. » La dégénérescence a fusé d'elle-même, et a été communément admise comme étant tout simplement de la culture. Puis, 1977, le mouvement féministe, qui sonna le glas de l'Occident tel qu'on le connaissait. Depuis que ces réceptacles à spermatozoïdes ont décidé qu'eux aussi étaient des personnes, l'Occident est devenu une colossale projection grandeur nature de Dumb and Dumber. Nous avons maintenant les deux dernières générations les plus stupides ayant jamais vu le jour depuis ces trois derniers siècles. Nous n'avons plus de grands philosophes ; nous n'avons plus de grands auteurs. Nous sommes devenus une nation collée à MTV et NRJ 12. Et pour l'amour du ciel, porter un regard sur nos adolescents suffit amplement. Qu'avons-nous fait pour avoir laissé notre jeunesse devenir terriblement corrompue et complètement stupide ? Pour citer Chuck Palahniuk, « On est une génération d'hommes élevés par des femmes. » Nous nous sommes effectivement laissés fourvoyer par les petits esprits sots des femmes.
Le fait que ce que je suis en train d'affirmer soit, selon les normes modernes actuellement en vigueur, sexiste et par conséquent mauvais constitue une preuve supplémentaire de notre endoctrinement. Les femmes nous ont convaincus qu'elles disposaient de facultés mentales suffisantes pour avoir la possibilité de ressentir de vraies émotions et de « souffrir », nous contraignant, de ce fait, à les protéger. C'est un mensonge. Fais-moi un sandwich.
Ainsi, il ne nous reste aujourd'hui rien d'autre que des éclats brisés de la société, le spectre de la grandeur passée de l'espèce humaine.
Il y a de profondes différences entre l'homme et la femme dans leur façon de voir le monde et leur mode de pensée. C'est particulièrement évident lorsque l'on observe la littérature qu'elles créent, la littérature qu'elles consomment, et la façon dont elles se comportent tout au long de leurs carrières.
L'archétype du film à l'eau de rose, Autant en emporte le vent, est décrit dans sa publicité originale comme étant « a tale of searing passion in a world gone mad ». Essentiellement, il traite des sentiments de la protagoniste dans un monde échappant complètement à son contrôle. Si un roman Mills and Boon finit bien, c'est toujours via l'intervention d'un homme. À aucun moment une femme ne tente de changer son monde. Elle s'y adapte, se lamente sur son sort, pleure, ou attend qu'un homme se charge de le changer pour elle. Les hommes, quant à eux, n'écrivent quasiment rien qui ne traite pas de la prise de contrôle de leur monde, et de la mécanique nécessaire à la mise en œuvre de cette conquête.
Une autre différence cognitive fondamentale : les hommes s'enseignent mutuellement le mécanisme, le principe même, puisqu'il y a moins à retenir et qu'il doit de toute manière être utilisé suivant le contexte. Les femmes veulent un contexte fixe et des instructions écrites. Si vous essayez plutôt de leur apprendre à utiliser les principes, elles n'écoutent pas et se mettent en colère, en disant « Je me fiche du pourquoi, je t'ai juste demandé de me dire quoi faire. » Si vous leur donnez une liste d'étapes, ce sera exhaustif, comme un programme informatique, puisque (encore une fois, comme un programme informatique) si le contexte change, si l'on brise la procédure, ou si quoi que ce soit a été omis, l'entière responsabilité revient à la personne s'étant chargée d'écrire la procédure.
Conséquence directe de cette inflexibilité intellectuelle : les femmes ne créent pas d'outils. Il est possible de leur apprendre à en utiliser, parfois très bien, pour autant que l'utilisation de l'outil soit décrite sous la forme d'une liste d'étapes – des programmes !
Visitez une boutique d'artisanat comme Spotlight. Ça pullulera de femmes se croyant créatives. En réalité, elles ne font que coller des paillettes sur des boîtes, ou couper des vêtements selon un plan qui a été avec quasi-certitude conçu par un homme, avant de les assembler à l'aide d'une machine à coudre, probablement faite spécialement pour elles et inventée par des hommes. Certaines d'entre elles vont varier dans leurs méthodes de travail, mais la création ex nihilo est un comportement qui se manifeste presque exclusivement chez les hommes.
Évidemment, vous pourriez me dire que la femme joue à Dieu en faisant usage de ce qu'il y a entre ses jambes, tandis que l'homme se sert plutôt de ce qui loge entre ses oreilles. C'est sans doute un cas d'acculturation psychologique. Possiblement un artefact, chez l'homme, provenant de leur incapacité à jouer à Dieu par la voie la plus facile ; il est certain qu'un grand nombre d'entre nous voient leurs créations comme des sortes d'enfants.
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