Je pense que tu te trompes déjà parce que les animaux sont dotés d'une conscience (à plus ou moins grande échelle) et ensuite parce qu'il y a beaucoup de cas d'animaux, notamment dans les espèces qui vivent en communauté, qui se suicident ou s'exilent s'ils ne conviennent plus aux attentes du groupe (être et faire comme les autres) et c'est également le cas chez l'homme puisque dans la plupart des cas, et ce de façon inconsciente, le suicide est une solution trouvée par celui qui ne remplis pas les attentes de sa communauté (avoir un travail, réussir sa vie, connaître l'amour par exemple, qui en fait à la base sont des besoins animaux très primaires).
D'après ce que j'ai compris de ta réponse tu distingues en deux groupes normalité "fictive" et "réelle" alors qu'en fait l'une n'est que le prolongement logique de l'autre, tout cela en reviens aux théories du docteur Freud, la société comme un mal nécessaire pour survivre, seulement je pense que sa théorie est également applicable, dans une certaine mesure, aux animaux et essentiellement à ceux qui vivent en communauté. Là où l'homme a besoin de se regrouper pour survivre (malgré son inadaptabilité physiologique) dans la nature, certains animaux se rassemblent pour pallier à leur défauts physiologiques, et faire du nombre une force...