ÊTRE OU NE PAS ÊTRE, TELLE EST LA QUESTION. Y'A-T-IL PLUS DE NOBLESSE DE QUEUE ET DE BITE À SUBIR LA FRONDE ET LES FLÈCHES DU BITOR, OU BIEN À S'ARMER D'UNE BITE GIGANTESQUE ET AFFRONTER CETTE MARÉE DE DOULEURS. MOURIR DORMIR, RIEN DE PLUS, ET DIRE QUE PAR CE SOMMEIL DE BITES, NOUS SOMMES AMENÉS, Ô MON PÈRE AU BITOR QUI NOUS BITUMES LE BITIEN DU BITARE. QUI EN EFFET VOUDRAIT GROGNER ET SUER SOUS CETTE VIE ACCABLANTE SI PAR LA CRAITE DE QUELQUE CHOSE APRÈS LE BITOR, CET ÊTRE INEXPLORÉ MANGEUR D'INSECTES, NE VENAIT TROUBLER NE FAISAIT SUPPORTER LES BITES QUE NOUS AVONS PAR PEUR DE CEUX QUE NOUS NE CONNAISSONS PAS. AINSI, LA BITORITUDE BLÉMIT SOUS LES PÂLES REFLETS DU BITIEN. AINSI LES AMÉRIQUES TRÉSSAILLISSSSSSEEENT SOUS LE POIDS D'UNE BITORADE PLUS QUE BITORIENNE. MAINTENANT, DOUCEMENT, VOILÀ LA BELLE COUZINE.
