Je sors de la maison pour aller au bus. Il y a un groupe de gents au milieux de la route, dans le silence on entend ce qu'ils dissent. Soudain je me retrouve dans l'autre sens rentrant à la maison. Étonné je m’arrête quand la femme du groupe que je ne connais pas me demande ou je vais, je lui répond que j'ai oublié mon cartable et que je ne sais plus ou je l'ai mis. Alors elle me dis "je sais où il est viens ! " alors elle m'emmène sur les quais de Saône (coté Mâcon). nous y sommes aller a pied par des ruelles étroite comme si c'étais à coté. Le ciel est gris. Pas un bruit. Sur l'eau flotte un fusil d'asseau reposant sur sa crosse et son chargeur. A la terrasse des cafés il y a un couple seulement qui s'en-va à l'arrivé d'un homme brun avec un blouson en faux cuir noir tenant un fusil, surement une M4. des serveuses font tombées un plateaux. toujours pas un bruit même le fracas qui aurais du survenir au contact du plateau de fer et son contenus sur le sol. Ayant récupéré mon sac nous nous en-allons. La femme, devenu ma cousine, passe tendis que la serveuse s'écarte pour nettoyer le sol en pierre beige, celle-ci ne nous voie pas. J'appelle ma cousine en lui disant de m’attendre car la serveuse maladroite me gène. Mon appel fait écho. La serveuse s'écarte, je passe. En silence et mal a l'aise nous marchons. Nous voici dans une sorte de grange il y a un escalier en contre plaqué épais qui mène à un étage fait dans la même matière. Là nous rejoins en silence un autre cousin. A trois nous "jouons" à la guerre contre un autre groupe de gens que je ne connais pas. Pas un cris juste le bruit de pas étouffé par la poussière. je suis archer .Touché je passe par dessus la rampe et tombe dans l'escalier. Un écran noir apparaît avec un texte philosophique sur la mort. On vient me réanimé et c'est repartit...
C'est juste une petite partie il c'est passer d'autre choses après et mais aucune explication de la scène.