J'ai tenté de répondre... J'ai échoué lamentablement.
Mais putain je suis tellement parti loin avec vos conneries, faites chier sérieux... :')
D'où provient notre avis subjectif/ressenti face aux œuvres d'arts et qu'est ce qui fait la pertinence d'une œuvre d'un point de vu qualitatif si nous ne pouvons pas la juger seulement objectivement ( puisque elles sont plus ou moins reconnu et qu'il faut donc bien qu'il y ait certains critères qui ne soient pas propre à l'individu mais que les techniques utilisés ou même la portée de l’œuvre ne suffisent probablement pas à faire ça. ) ?
J'ai commencé par me questionner longuement sur cela avant de partir voir ce que d'autres ont dit. Rapport sociologique, psychologique, la linguistique... et j'ai terminé sur des neurosciences ( où j'ai ragequit parce que ça dépassait de TRES TRES loin mes compétences moisies ). Je suis passé par Kant, Bourdieu, Nietzsche arghhh. Je dépose mon cerveau et retourne faire de la m****.
Je te déteste Baator ! è_é
Et sinon pour sortir de mon HS complet, ça dépend de quelles œuvres on parle.
Un jeu vidéo n'est pas seulement artistique par exemple, il ne l'est que sur certains aspects. La notion artistique contribue à la qualité du jeu ( en favorisant
l'immersion du joueur par exemple ) mais n'en fait pas forcément un jeu plaisant pour autant si le reste ne suit pas.
Donc si la question est: "Peut on juger objectivement un jeu vidéo ?" ... Peut être, il me semble que c'est possible tout en étant moins nocif que ça ne le serait pour un autre type d'œuvre d'art ( plus de critères techniques indéniables sur lesquelles se reposer pour juger objectivement que pour les autres formes d'art. Fin' quoique... je médite toujours la dessus en fait.. ). Mais juger uniquement avec des critères objectifs me paraît être une régression quoi qu'il en soit.
« Art, Culture, Théorie de l ’ évolution »
*ragequit*
Paul Valéry a dit:
(...)la belle architecture tient de la plante. La loi de croissance doit se sentir. De même la loi de ménagement des ouvertures. – Une fenêtre ne doit pas être un trou percé comme par un vilebrequin dans une planche, mais être comme l'aboutissement de lois internes, comme la muqueuse et les modelés des orifices naturels.
Sur cette phrase qui emmène mon cerveau tordu à visualiser une architecture relativement flippante, je me barre d'ici.