La guerre fut enfin terminée. Maé, mon très cher compagnon, touché par la dernière praline, s'écroule. Je lui dit : "Nous avons repris les digues !" et lui sèche les larmes, il me répond sagement "La victoire est là ! Nous avons gagné !". C'est alors que sa silhouette blanchit, il mourut, pour la France, pour Marianne. Je lui ferme les paupières et verse une larme "Merci, camarade, mon ami, mon cousin...".