Réflexions " philosophiques ".

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Spirit
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Oui très claire mais je peux te citer des musique ou il n'y a pas une once d'amour ^^
Au niveau de tous les êtres humains maintenant, nous pourrons en trouver un qui te dira le contraire. Il y a aussi ce côté de l'armoire, celle de tous les auditeurs. Cela est vrai par nécessité si je peux faire un clin d’œil à la philosophie :^]
 
Merci de me demander des prévisions, cela va m'aider :>

Du point de vue du tout est une formule pour dire au niveau du monde, de tout ce qui est. Ainsi au niveau de toutes les musiques qui existent, on peut trouver de l'amour.

C'est un peu comme le principe des tiroirs : si tu cherches quelque chose qui est dans ton armoire, en ouvrant tous les tiroirs tu seras sûr à 100% de trouver ce que tu cherches. J'ai été clair ? :^)

Dans ce cas tu ne dis pas qu'absolument toutes les musiques contiennent de l'amour, mais que l'entièreté de l'œuvre musicale de l'Homme contient de l'amour. Pourquoi alors ne s'intéresser qu'à ce sentiment ?
 
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Je ne suis pas sûr d'avoir saisi. Peut-être que si ! L'amour serait reçu par l'homme mais pas forcément présent dans une musique en question, c'est cela ?

Et je m'intéresse à ce sentiment car je le trouve très puissant (et qu'il me gouverne en ce moment ^^), mais oui cela est assez restrictif comme analyse.
 
Je voulais dire que si je ne trouve pas d'amour dans toutes les musiques, je peux être certain d'en trouver en cherchant dans le répertoire du monde. Donc au lieu de dire que "l'entièreté de l'œuvre musicale de l'Homme contient de l'amour" j'aurais dû dire "l'entièreté de l'œuvre musicale de l'Homme contient à coup sur, et partiellement de l'amour".
Si on affirme que toute musique peut contenir de l'amour, même si ce n'est que pour une personne, je pense que c'est l'interprétation de l'individu qui va faire que la musique en contient ; mais "du point de vue de l'univers", tout est relatif, donc on s'en fiche de savoir si oui ou non la musique contient de façon entière, absolue et dogmatique de l'amour. C'est une question de point de vue. Enfin c'est mon point de vue. LOL

Et je m'intéresse à ce sentiment car je le trouve très puissant (et qu'il me gouverne en ce moment ^^), mais oui cela est assez restrictif comme analyse.
Pas de soucis !
 
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Je suis assez d'accord avec toi, je suis aussi un peu d'accord avec Spirit, depuis tout à l'heure j'écoute mes musiques et c'est vrai que dans la plupart on peut trouver de l'amour ou par association ou parce que la musique veut faire passer ce message mais comme le dit Hippotropikas c'est le point de vu de chacun (et heureusement ^^)
Et je m'intéresse à ce sentiment car je le trouve très puissant (et qu'il me gouverne en ce moment ^^), mais oui cela est assez restrictif comme analyse.
Ca c'est bien !! :D ça explique aussi quelques points je trouve ^^
 
On est tous unique d'un point de vue biologique et biochimique, écouter une musique ne donc avoir le même impact sur chacun.

C'est peut-être cela la définition de la subjectivité : la variation des réactions biochimiques de notre corps quand on rencontre quelque chose de nouveau :>
 
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Lorsque vous ne savez plus quoi dire pour exprimer vos sentiments, mettez de la musique. Celle-ci contient une palette infinie de couleur et de sensations, un réservoir incommensurable d'émotions diverses et variées, de quoi faire chavirer les plus sensibles et les envoyer vers d'autres cieux.
 
Lorsque vous ne savez plus quoi dire pour exprimer vos sentiments, mettez de la musique. Celle-ci contient une palette infinie de couleur et de sensations, un réservoir incommensurable d'émotions diverses et variées, de quoi faire chavirer les plus sensibles et les envoyer vers d'autres cieux.
Et encore, depuis la Renaissance nous nous sommes limités principalement à deux modes : majeur et mineur. J'en ai déjà parlé avec un ami à moi, et c'est vrai que dans l'Antiquité et au Moyen Âge on avait je pense 7 modes ; chaque mode était associé à une certaine humeur, une certaine ambiance (à titre d'exemple, le mode lydien était le plus gai et le mode locrien le plus sombre).
En revanche, l'utilisation de plus en plus fréquente des modes majeur et mineur a permis l'essor de la modulation (=le fait de passer d'un mode à un autre au sein d'une musique : par exemple de do majeur à ré mineur) ; c'est cela qui a caractérisé la musique de la Renaissance à aujourd'hui (je ne parle pas de la musique atonale que très peu de personnes écoutent...)
Tout ça pour montrer que nous n'avons créé qu'une infime partie de toutes les musiques possibles, que nous n'avons découvert qu'une infime partie des univers musicaux. Pour l'analogie, c'est comme si chacune des milliards d'étoiles visibles depuis la Terre représentait une musique, mais que nous nous étions enfermés dans cette petite région qu'est l'Univers observable. Rien que d'imaginer ce que nous avons raté me donne le vertige...

EDIT : j'ai commis une bêtise en admettant que nous n'avions créé qu'à partir des deux modes majeurs et mineurs. En effet, chaque culture a sa propre musique, sa propre échelle musicale (cf. musique orientale, indienne, chinoise, japonaise etc.) voire même sa propre façon de penser la musique (cf. la musique africaine qui, elle, s'est plutôt construite sur le rythme que sur la hauteur des sons).
 
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C'est comme des mathématiques en quelque sorte. Je m'explique : tu prends une fonction continue (définie en tout point d'abscisse réelle) quelconque, puis tu te demandes : quelle est la probabilité ou que représente le point de la courbe de coordonnées (x;f(x)) par rapport au reste de la fonction ? Rien, absolument rien. Comme si chaque musique possible représentait un point de la courbe de cette fonction. Nous avons peut-être créé l'intervalle [0,10^50], mais tant que nous aurons une création finie (l'inverse serait bien sûr impossible, nous composons un nombre fini de musiques) celle-ci sera un point par rapport à l'infinité de possibilités existantes.

J'ai perdu personne avec ma comparaison assez particulière ?
 
J'ai tout compris ! En revanche, je pense qu'il y a un nombre limité de musiques possibles et imaginables. Je te renvoie vers cette vidéo (si tu as le temps)...enfin si, il y a quand même un nombre infini de musiques possibles comme il y a un nombre infini de fréquences sonores ; on peut toujours augmenter la fréquence d'une note de 0,00001 Hertz. Mais en même temps, à partir du moment où on ne peut pas discerner la différence entre deux musiques, on peut considérer, humainement parlant, qu'elles constituent une seule et même musique. Donc oui, ta comparaison est assez réaliste à ce niveau. On admettra cependant qu'une musique ne représente pas un point (nul) mais par exemple une unité, histoire qu'il y ait une limite à partir de laquelle chaque musique est unique et donc discernable des autres. Et de cette façon, tu remarqueras que chaque musique ne représente encore et toujours rien comparé à l'infini.
 
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