On s'éloigne un peu du débat originel. ^^
Pour te répondre tout de même, c'est un peu l'idée - même si je n'irais pas aussi loin, je ne suis pas inhumain non plus - et j'ai conscience que mon opinion peut choquer. Mais à mes yeux, la progression de la connaissance et de la technologie servent les intérêts du plus grand nombre alors que dépenser de notre temps pour attendre tout le monde ne sert les intérêts que de ceux que l'on doit attendre. L'idée serait de trouver un compromis entre réduire le nombre de gens à attendre le plus possible sans trop entraver la progression de l'humanité au sens large.
Un corps humain n'est en gros conçu que pour durer un siècle au maximum et même avec les progrès de la médecine qui pourrait augmenter cette durée, notre espérance de vie est extrêmement limitée par rapport à l'espérance de vie de notre espèce. De plus, le devoir de la faire perdurer est inscrit dans nos gênes à son niveau le plus fondamental. C'est l'espèce aura - à mes yeux - toujours la priorité sur un groupe réduit d'êtres humains - sans tomber dans l'exclusion pure et simple, il faut trouver un équilibre, mais un équilibre qui ne mette pas en danger notre survie et notre progression sur le long terme.
Pour te répondre tout de même, c'est un peu l'idée - même si je n'irais pas aussi loin, je ne suis pas inhumain non plus - et j'ai conscience que mon opinion peut choquer. Mais à mes yeux, la progression de la connaissance et de la technologie servent les intérêts du plus grand nombre alors que dépenser de notre temps pour attendre tout le monde ne sert les intérêts que de ceux que l'on doit attendre. L'idée serait de trouver un compromis entre réduire le nombre de gens à attendre le plus possible sans trop entraver la progression de l'humanité au sens large.
Un corps humain n'est en gros conçu que pour durer un siècle au maximum et même avec les progrès de la médecine qui pourrait augmenter cette durée, notre espérance de vie est extrêmement limitée par rapport à l'espérance de vie de notre espèce. De plus, le devoir de la faire perdurer est inscrit dans nos gênes à son niveau le plus fondamental. C'est l'espèce aura - à mes yeux - toujours la priorité sur un groupe réduit d'êtres humains - sans tomber dans l'exclusion pure et simple, il faut trouver un équilibre, mais un équilibre qui ne mette pas en danger notre survie et notre progression sur le long terme.