la faute en revient aux français: en crachant constamment sur les politiciens, quiconque veut s'insérer dans le milieu a pour avenir sûr de l'ingratitude. En plus, les politiques en sont parfaitement au courant puisqu'ils n'hésitent pas à utiliser cette haine publique pour la diriger vers de la concurrence rude (DSK, sans l'affaire du sofitel, aurait gagné les élections à coup sûr).
Pour qu'une France puisse évoluer dans le droit chemin, il faut une politique, il faut une tête pour prendre les décisions. C'est indispensables pour n'importe quelle société qui veut subsister dans ce monde mondialisé.
Le souci c'est que la politique est devenu un marché, un business où il n'y plus qu'un seul mot d'ordre: le monopole sur marché français.
Au final on passe d'une patriarchie grecque (avec Socrate et les 30 sages il me semble) à un paysage politique où les bonnes idées éclos un peu partout mais sont incapables de coopérer ensemble.
Voilà merci
Ouais mais c'est quand même possible de discuter des idées après, juste des idées pour savoir quelle direction prendre et ne pas se rabaisser à cette politique qui a lieu, c'est ça qui est chiant, les français n'ont plus le pouvoir, ils ont le droit de vote mais c'est tout, ça représente pas tant de choses que ça, donc toutes les idées ne sont pas représentées, de ce fait, c'est en manipulant qu'on arrive au pouvoir.
Convaincre ne sert plus à rien pour avoir le pouvoir, suffit de persuader.
Après avec une organisation bien faite, je pense qu'on pourrait trouver un bon chemin.
Et la tête qui prend les décisions je suis pas totalement d'accord. Pourquoi pas le référendum ? Ou au pire une assemblée exécutive ou il n'y arait pas de chef ? (Fin si mais pour coordonner pas pour décider)
Je sais que je peux te paraître utopique, mais viser l'irréalisable
tout en restant lucide, conscient des problèmes et prudent amènera peut-être à mieux que viser un objectif ancré dans un réalisme austère.
EDIT: Avec les politiques actuelles dans ebaucoup de pays, je suis désolé mais on se dirige vers un mur. Et pour l'instant, avec tout ce qui est déterminisme, idéologie politique et tout ça, on est coincés.