Plus facile à dire qu'à faire, et puis il faut une compatibilité avec le gène en question pour éviter le rejet.
Dur de récupérer le gène de bioluminesence de la luiciole (il faut l'identifier, l'extraire...).
Ni l'humain ni le reste du monde vivant ne possède d'âme, puisque cette dernière n'existe tout bonnement pas. Il serait par conséquent plus que préférable d'éviter de faire interférer ce concept séculaire, dénué de tout fondement scientifique, dont la désuétude n'a d'égal que l'invraisemblance, avec la souffrance animale, qui, elle, appartient bien malheureusement à la réalité.Tu me dira les animaux ont une âme
De quel droit une mort humaine devrait-elle être considérée comme beaucoup plus grave que la mort d'un animal de laboratoire ?qui testera ? Des volontaires au péril de leur vie ? Pour l'instant l'éthique, ce n'est pas moi qui la fait. Mais il en est ainsi. Il restera de mon avis qu'il est plus éthique de tester des rats (même si ça me répugne) que des humains. Tu vois les scientifiques avoir une mort humaine sur la consience ?
Si c'était le cas, l'expérimentation scientifique sur les rongeurs ne serait plus d'actualité depuis un bon bout de temps.Ce sont des souris et non des humains, les réactions du corps vis-à-vis du gène ne sont pas les mêmes que les souris.
Tout simplement que pour la plupart des humains et leur éthique, puisqu'un rat n'a ni conscience ni libre arbitre, est donc est jugé comme "inférieur", ce qui est triste, car cela reste tout de même une forme de vie.De quel droit une mort humaine devrait-elle être considérée comme beaucoup plus grave que la mort d'un animal de laboratoire ?
Chacun voit midi à sa porte.
L'espèce humaine étant plus développée, on peut dire que si les humains assujetissent les autres espèces, on peut le considérer indéniablement comme la loi du plus fort qui existera toujours quoi qu'il arrive.Tout simplement que pour la plupart des humains et leur éthique, puisqu'un rat n'a ni conscience ni libre arbitre, est donc est jugé comme "inférieur", ce qui est triste, car cela reste tout de même une forme de vie.
Pour chaque ethnie ou groupe c'est souvent le cas : le commun des mortels choisiront de sauver la vie d'un de ses proches plutôt qu'un autre humain qu'il ne connaît pas.