Il a émis deux thèses qui se contredisent à première vue. En clair, la probabilité que l'ensemble des planètes existantes accueille la vie à plusieurs endroits est supérieur à la probabilité qu'une seule planète accueille la vie un jour. L'élargissement du système considéré tend à faire augmenter la probabilité.
Mais tu sembles avoir un argument antithétique, lequel ? Peut-être l'univers n'est-il pas homogène dans la distribution des probabilités (dit comme ça, ça parait très théorique !).
C'est l'idée : il faut prendre en compte la zone d'habitabilité, la durée depuis laquelle celle-ci existe, le type majoritaire de rayonnement émis par l'étoile, bien sûr le fait que ce soit une planète tellurique...
La probabilité d'apparition d'une molécule organique susceptible de se dupliquer sur une planète tellurique prend en compte un nombre de facteur presque incalculable actuellement mais face à un espace gigantesque en pleine extension et le développement rapide de l'étude spatial, nous devrons forcément finir par trouver une planète accueillant des formes de vie?
Si je simplifie le raisonnement que nous avons, on cherche à multiplier une probabilité presque nulle par un nombre extrêmement grand. Et cela, je ne peux savoir vers quoi cela tend (théoriquement, en mathématiques il y a bien sûr des théorèmes de croissance comparée, des simplifications des fractions, etc...).