Au fur et à mesure que l’article se rapprochera de sa grande fin, votre cerveau vous emportera pas à pas dans un monde de rêves et de merveilles. Mais cette fois-ci sans un réveil aussi brutal que celui de votre radio-réveil sonnant incessamment, c’est promis !
Je vous rassure, je n’ai pas prévu de vous endormir avec des phrases lourdes et difficiles à la compréhension, bien que ça pourrait être tentant. Les présentations faites, nous pouvons débuter.
Un monde n’existant que par le rêve et l’imaginaire affublé du nom de Drömanas. C’est une oeuvre de l’équipe CeltiCraft, se détachant davantage de celles réalisées auparavant, notez que j’insiste vraiment sur ce point.
On se retrouve donc dans un château aux couleurs rosâtres et violâtres mais, contrairement à ce que l’on pourrait penser, rien ne fait penser à un château où pourrait régir une princesse. Je n’arrive pas à déterminer si c’est le côté fantastique et onirique de la structure ainsi que l’architecture qui procure cet effet ou bien simplement les couleurs ternes de la création.
En sortant de cette structure, on voit donc différentes parties, ce qui pourrait être interprété par différents rêves, posés sur ce que je pense être des nuages. On perçoit un monde fleuri avec les Sakuras, cerisiers japonais bien connus, un environnement printanier vêtu d’organiques d’animaux comme par exemple des papillons ainsi que d’oiseaux excessivement grands mais également des organiques végétaux donnant la signature de la CeltiCraft avec des fleurs, pouvant mesurer jusqu’à la moitié d’un arbre, très souvent retrouvées dans leurs diverses maps.
On peut également voir une île laissant présager une atmosphère démoniaque ou encore maléfique puisque l’on voit un cheval à la crinière et à la queue en lave faisant également penser au fameux pokémon “Ponyta”, cheval à la crinière et à la queue en feu et dont l’évolution était plus appréciable encore qu’une bonne vieille raclette.
Sur deux autres îles, on remarque que la nature reprend ses droits puisqu’on distingue une femme se changeant petit à petit en un arbre immense, ainsi qu’un cerf et ses bois transformés en arbre, retrouvant ainsi la nature auquel leurs noms font référence.
Explications de Artase, administrateur de la CeltiCraft
“Alors nous sommes partis dans un style plutôt onirique en ajoutant une petite pointe philosophique. Tout en restant dans cette vision onirique, on a construit un monde végétal et animal qui prend le dessus sur tout et qui se rebelle contre l’Homme (la plupart des organiques sont tournées vers le megabuild, et la seule humaine présente sur la map n’échappe pas à la nature car ses pieds commencent peu à peu à se transformer en racine et ses cheveux en arbre.).
L’eau commence à manquer et certains animaux commencent peu à peu à s’adapter à l’environnement aérien et à la nature, notamment une baleine volante végétal mais aussi d’autres animaux aquatiques qui sont transformés en animaux aériens (tel qu’un hippocampe, une méduse, et une anguille).
On peut également voir une reproduction de cernunnos, plus précisément une adaptation végétale de celui-ci dont les bois sont ornés de feuilles.
A l’inverse, sur d’autres îles on peut contempler un paysage beaucoup plus féerique avec des organiques de libellules, papillon, et oiseaux ainsi qu’une végétation aux couleurs beaucoup plus vives (rosées) pour créer un contraste avec les autres îles.”
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Corrigé par ThomaSs et TheShining