J'y pense seulement maintenant mais, si nous poursuivrions ton raisonnement un peu plus loin, CPUser_, alors nous aurions tout intérêt à ne parler de rien, par peur de ne pas savoir suffisamment de choses sur le sujet, dont celles que nous ignorons pourraient se révéler effectivement plus importantes que celles que nous savons — par prudence aussi, la même prudence qui nous amènerait à envisager que ce que nous ne savons pas est plus important.